• L’allaitement : allaiter son bébé semble bien être le meilleur moyen pour réduire les risques chez le nourrisson. Le lait maternel regorge de substances immunitaires et a un effet préventif. Et pas besoin pour la maman de modifier ses habitudes alimentaires pendant l’allaitement. Attention tout de même à certaines crèmes anti-crevasses qui pourraient favoriser l’allergie à l’arachide ou autres fruits secs.
• Une dose de prudence dans l’introduction de nouveaux aliments : il est bien sûr essentiel de proposer de nouveaux aliments à bébé, mais un par un, sans précipitation, surtout en cas d’antécédents allergiques familiaux.
• Si vous avez recours aux petits pots : lisez attentivement la liste des ingrédients et des additifs alimentaires, indiqués sur les étiquettes et évitez persil, tomates, céleri, œufs et poisson jusqu’à 1 an.
• Allergie à l’arachide : une vigilance absolue s’impose. Même si un tout petit bébé ne mange pas de cacahuètes, même si les fabricants se sont engagés à la bannir des petits pots : l’arachide est parfois transformée pour être intégrée à des confiseries, céréales, pains, produits laitiers… Même en très petite quantité, même sans goût, même « cachée », l’arachide peut provoquer des réactions allergiques : il faut donc rester très attentif et lire les compositions ainsi que le type d’atelier dans lequel les aliments sont créés.
À savoir : les fabricants ont l’obligation de vous communiquer la liste de tous les ingrédients utilisés dans la préparation de leurs produits. Si vous ne trouvez pas l’information suffisamment claire ou précise sur l’étiquette : contactez le service consommateurs de la marque.
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