Vie pratique - Science et Technologie
L'Antigravité un secret bien gardé

Quelle est la découverte qui pourrait d’un coup un seul projeter l’homme dans le futur absolu et sans limite ? Quelle est l’invention qui parachèverait l’œuvre de l’évolution d’un claquement de doigt ? L’invention qui en quelques années à peine pourrait provoquer plus de mutations dans la société humaine, que l’humanité n’en a connu depuis l’époque lointaine de l’homo Erectus ?
L’antigravité

Il s’agit bien évidemment de l’antigravité ! Si l’homme possédait cette technologie, les portes de la conquête spatiale s’ouvriraient toutes grandes devant lui, et il pourrait alors accomplir sa grande destinée ! Naturellement les consciences changeraient, notre conception du monde se verrait brusquement remises en question, et de nombreuses institutions, de grands monopoles économiques s’effondreraient d’un seul coup. Finalement les conséquences d’une telle découverte risqueraient d’être plus dramatiques encore que les solutions qu’elle était sensée apporter à l’humanité.

On comprend mieux pourquoi, face à un tel danger, les états ont tout fait pour maintenir ces recherches sous le sceau du plus implacable secret.

Cependant, en tant que citoyen du monde, on est en droit d’espérer que les choses changent un jour, que les mentalités et les consciences évoluent dans le bon sens. On est en droit d’œuvrer en conséquence, et de s’indigner en constatant la lenteur de l’évolution qui s’apparente de plus en plus à de la régression. Et comment les choses pourraient-elles changer lorsqu’on encourage partout dans les médias nationaux le triomphe de la médiocrité, de la facilité, de la bêtise enfin ? Parallèlement, les chercheurs sincères qui ont osé s’aventurer dans ce domaine sont très souvent discrédités. Devant eux se dressent des obstacles et des difficultés de toutes sortes.

Alors ?

L’une des premières façons de se lancer sur la piste de l’Antigravité consiste à entreprendre l’étude et l’analyse sérieuses des témoignages d’ovnis les plus crédibles. Dès septembre 1953, le lieutenant Jean Plantier publia dans la revue mensuelle de l’armée de l’air la première tentative d'explication de la propulsion des soucoupes volantes.
Jean Plantier devait développer un peu plus tard sa théorie dans son livre la Propulsion des Soucoupes Volantes (Mame, éditeur, Paris).
Que s’est-il passé depuis ? Plus rien ?…

Alors on s’interroge… Est-il possible que les états se soient totalement désintéressés de ces recherches ? Et dans le cas contraire, est-il possible qu’avec les moyens considérables dont ils disposent, ils n’aient fait aucune découverte concrète après tant d’années de recherche ?

Et si cette invention révolutionnaire avait déjà été découverte au XX° siècle ? Si elle était gardée secrète au yeux de tous ? Si elle était, en ce moment même, conservée jalousement entre les mains d’une petite minorité prête à tout pour garder le secret ?

L’antigravité serait-elle à jamais interdite aux communs des mortels ? C’est ce que semblent croire un certain nombre de chercheurs de part le monde. Nous verrons que leur arguments ne manquent pas de poids. Les sceptiques verront aussi que l’antigravité n’est pas une chimère, et qu’avec bien peu de moyen, quelques chercheurs habiles et passionnés ont pu obtenir des résultats prometteurs !

QUELQUES INVENTEURS DE SYSTÈMES ANTIGRAVITATIONNELS
ET MAGNÉTIQUES

Pour retrouver des sites relatifs à ce dossier, on se reportera utilement à notre Catalogue de Références dans la partie LIENS INTERNET

POUR RECHERCHER UN BREVET
Ce lien :
http://ec.espacenet.com/espacenet/ep/fr/e_net.htm vous permet d'accéder aux formulaires de recherches du site " espacenet ", 30 Millions de documents disponibles; le N° de brevet et le nom et prénom de l'inventeur seront dans la plupart des cas suffisants pour obtenir vos renseignements.


CARR Otis T.

Otis fit la connaissance du solitaire Tesla dans l'hôtel où il résidait. Tesla adorait nourrir les pigeons de New York et demanda un jour à Otis, alors étudiant en art et travaillant dans l'hôtel, d'aller lui acheter deux kilos de cacahuètes non salées. Pendant, trois ans, après chaque livraison des cacahuètes, Otis reçut un enseignement de Tesla. Il devint ainsi inventeur de générateurs à Energie Libre.

En 1947, Carr avait terminé ses recherches sur un véhicule volant (ressemblant au disque à lévitation de Searl). Il a essayé d’intéresser des services gouvernementaux et des universités, en vain car ils étaient tous davantage axés sur la fission atomique. Comme beaucoup d’autres inventeurs, il s’est orienté vers l’aspect éducatif et récréatif de son œuvre. Il a déposé un brevet (n° 2.912.244) d’appareil – jouet qui reflète très fidèlement les proportions et la conception de son véhicule volant à antigravitation. Le principe de fonctionnement énoncé par Carr était que " tout véhicule accéléré vers un axe par rapport à sa masse inertielle d’attraction devient immédiatement activé par l’énergie de l’espace et agit comme une force indépendante."

Carr se serait inspiré de la fin du brevet anglais n° 300.311 de T.T. Brown en transformant le moteur cylindrique en un moteur bicônique créant spécialement autour de lui un champ non uniforme grâce à sa forme combinée avec sa rotation. Il a placé au centre un autre bicône plus gros qui pouvait servir à donner une énergie locale et aussi à créer un autre champ non uniforme au centre. Bien que confirmées, les affirmations de Carr n’expliquent pas l’échange et l’extrême polarisation qui se produit entre le disque de fer à segments et les électroaimants du pourtour qui donnent une annulation du champ gravitationnel et permettent un vol antigravitationnel.

Dans le disque de Carr se trouve un composant clé, le Utron, constitué de condensateurs métalliques en rotation dont la forme est inhabituelle, carrée dans un plan et ronde dans un autre plan à 90 °. Cet Utron a la même fonction - composant inductif rotatif à haute vitesse - que les plaques d’acier à segments de Searl.

Cette utilisation d’un composant condensateur en rotation planétaire muni d’une capacité de stockage de charge mesurable et à vitesses périphériques élevées est intéressante.

Dans le disque de Searl comme dans celui de Carr, la charge accumulée provenant de l’élément en rotation est déchargée dans des électroaimants sur le pourtour du disque. Sur le disque de Carr, la zone plate contient des réserves de condensateurs uniformes qui font osciller les charges reçues par les aimants des bords.
L’ajout de l’Utron de Carr paraît améliorer la technologie antigravitationnelle de base de Searl, les deux en obtenant ainsi une crédibilité renforcée. La fonction du condensateur améliore la sortie à sur-unité de ces appareils.

D’autres similarités ont été remarquées entre le fond du disque à 7 côtés et l’antenne à 7 pôles des installations militaires US en Nouvelle-Zélande (voir Bruce Cathie). Pour mémoire, il existait un projet antigravitation américain (pas le disque AVRO). Le disque trouvé par le fermier Royal Douglas près de Horseheads , N.Y, en 1950, était probablement un appareil d’essai de source d’énergie, même s’il a été dit qu’il s’agissait de l’œuvre de gamins de dix ans. Libre à chacun de croire qu’ils auraient pu réaliser cet appareil dans les années 50 à l’aide de principes mathématiques publiés dans Scientific American en 1984 !


FINSRUD Reidar
N-1440 Drobakk
Fax + 47 64932990

Reidar Finsrud de Skaarer en Norvège n’a pas de formation en physique ou mécanique, il est artiste peintre et sculpteur. Durant une douzaine d’années, il a passé beaucoup de temps à cette ‘’sculpture mobile’’ en s’amusant avec des aimants. La chaîne 2 de télévision norvégienne a réalisé une vidéo sur sa machine, exposée sous protection vitrée dans la galerie de Finsrud. De nombreux visiteurs ont pu voir fonctionner la machine, dont Albert Hauser, (Aalevej 41 DK-7160 Torring, Denmark) en 1994 et Frode Olsen. Elle fonctionnait pendant quatorze jours d’affilée puis s’arrêtait (mais M. Hauser ne l’a jamais vu arrêtée).

La machine est constituée d'une boule d’acier de 6,85 cm pesant 860g qui roule sur une piste horizontale d’aluminium de 63 cm de diamètre. Trois balanciers d’environ 114 cm de long munis de poids réglables à leurs extrémités inférieures contrôlent trois aimants en fer à cheval devant lesquels passe la boule d’acier. Un système mécanique constitué d’un fil d’acier replié en triangle de 12, 7 cm de long contrôle le rythme. La boule roule dessus et pousse le fil vers le bas à travers une entaille pratiquée dans la piste, l’aimant qui agit en attraction monte. L’inertie déplace la boule dans le champ d’attraction de l’aimant voisin.

Cela règle le mouvement des balanciers. Trois de ces modules permettent à la boule de se déplacer sans arrêt autour de la piste en aluminium. Chacun des trois aimants en fer à cheval est monté sur un levier sur chaque balancier. Trois aimants plus petits reliés aussi aux balanciers sont placés un petit peu plus bas que les aimants en fer à cheval. Ils bougent à peine ou ne bougent pas du tout quand la boule passe. Le timing est calculé de telle sorte que les aimants en fer à cheval se soulèvent vers la boule juste avant qu’elle ne les atteigne puis la poussent dans sa révolution de 4,2 secondes autour de la piste. L’appareil produit 0,013 watts, et a la note de 6 sur 10 par I.N.E.


PODKLETNOV EVGUENI E.
Moscow Chem. Scientific Ctr

Agé de 45 ans, ce scientifique russe émigré en Finlande a fait cinquante publications en science des matériaux dans laquelle il a un doctorat. Son père enseignait d'ailleurs cette matière à Saint-Pétersbourg. Il est l'auteur de 10 brevets et est un brillant expérimentateur.
Il a obtenu une maîtrise à l'Université de Technologie Chimique (Institut Mendeleïev de Moscou) puis a passé 15 ans à l'Institut des Hautes températures de l'Académie des Sciences d'URSS. En 1988, il va à l'Université de Tampere en Finlande pour passer un doctorat sur la fabrication des supraconducteurs.
Sa philosophie de la vie est simple et il ne pense pas devenir riche ni célèbre, mais il souhaite voir un jour la création d'un Institut de recherche sur la gravité où tous les chercheurs pourraient unir leurs efforts.

Après un premier article en 1992, Podkletnov en écrivit un autre rejeté par une dizaine de revues avant d'être accepté par le Journal of Physics-D puis repris par le Sunday Telegraph le 01/09/96 sous le titre '' Des scientifiques en Finlande sont sur le point de révéler des détails sur le premier dispositif à anti-gravité du monde '' alors que Podkletnov avait parlé seulement de maîtriser la gravité.

Les ennuis commencèrent. L'Université prétendit qu'il avait travaillé seul, le remercia, lui ferma ses portes et sa carrière fut brisée. En 1995, il fut contraint de laisser sa famille en Finlande et retourner à Moscou où il travaille pour une entreprise comme spécialiste des matériaux. Il dit avoir travaillé pour un centre de recherches chimiques où il a fabriqué un dispositif " reflétant " la gravité en utilisant un générateur Van de Graaf. Pour lui, d'ici dix ans l'annulation de gravité sera chose faite, si ce n'est par la NASA ce sera par les Russes.

Des réactions de sceptiques
Pour les sceptiques, ce genre de résultats tient de la science-fiction (l'expérience a même été citée dans les X-Files).
La réaction de Riley Newman, professeur de physique à l'Université de Californie est typique :

''C'est inconcevable : Podkletnov a du mesurer des courants d'air ou des champs magnétiques mais pas une réduction de poids."

Pour John Cramer, il aurait fallu une importante source d'énergie pour faire un bouclier anti-magnétique. Mais Podkletnov affirme qu'il n'en est rien.
Henry F. Dart dans NEN de fin 1996 a exprimé des doutes au sujet de l’expérience.

Certains sceptiques estiment que cet effet antigravitationnel est l'effet secondaire de la théorie générale de la relativité d'Einstein, effet depuis longtemps recherché, qui prévoit que des objets en rotation peuvent disloquer la gravitation. On croyait jusqu'à présent cet effet tellement minime qu'il ne pouvait pas être mesuré en laboratoire. Le Dr Ving Li, scientifique à l'Université de l'Alabama, et dont les recherches sont financées par le centre de vols spatiaux de la NASA à Huntsville, pense que les atomes peuvent considérablement renforcer cet effet dans les supraconducteurs.

Reproduction des expériences de E. Podkletnov
De nombreux laboratoires et chercheurs tentent de reproduire son étrange expérience dont l'enjeu est la lévitation.

Le physicien italien Giovanni Modanese a été interpellé par les travaux de Podkletnov. Il a lui-même développé une théorie de l'annulation de la gravité à l'Institut Max Planck de Munich. Ses travaux ont été reproduits à Sheffield et à Toronto probablement dans deux universités que Podkletnov ne peut nommer de peur de les voir ridiculiser. La NASA ne cache pas ses travaux à ce sujet mais dit ne pas avoir de résultat formel.

Le 21/09/96, John Schnurer, a obtenu une réduction de poids de 5,4 % en appliquant des champs magnétiques (non spécifiés) sur un hexagone de 2,54 cm . Il apparaîtrait que Schnurer appliquerait un champ magnétique en rotation sous le supraconducteur grâce à 3 petites bobines.
Un chercheur de l’Ohio dit avoir réussi à refaire l’expérience de Podkletnov. Il affirme :
« Les gens ont peur du terme anti-gravité... Vous avez une approche convaincante et originale du mécanisme de la gravité et j’ai trouvé quelques confirmations dans mes expériences. »

Malgré tout, la controverse continue ; elle porte sur le fait que ce sont des champs magnétiques ou des flux d’air qui interviendraient pour expliquer les pertes de poids.

L'expérience de E. Podkletnov à Tampere
La découverte s'est faite de façon accidentelle alors que le groupe des six scientifiques expérimentés que E. Podkletnov dirigeait travaillait sur la supraconductivité (possibilité qu'ont certains matériaux de perdre leur résistance électrique à très basse température). Des tests avaient été pratiqués sur des disques de céramique supraconductrice, Yba2Cu307-x, tournants à 5000 tours par minute, reliés au champ magnétique de trois bobines électriques, le tout dans un récipient d'azote liquide à basse température, le cyrostat.

Un fumeur de pipe entré dans la pièce souffla sa fumée au-dessus du cyrostat, et la fumée montait toujours au plafond. C'était surprenant autant qu'inexplicable. Des tests ultérieurs montrèrent que les objets placés au-dessus de l'appareil accusaient une légère perte de poids, comme si l'appareil les protégeait des effets de la pesanteur, ce qui semblait impossible à la plupart des savants. Après avoir pensé à une erreur, malgré toutes les précautions prises pour l'éviter, l'étrange effet persista, augmenté même, par la rotation du disque.

L'équipe découvrit que la pression de l'air à la verticale au-dessus de l'appareil, diminuait lentement, (4 mm de réduction de pression dûment mesurée), l'effet se faisait sentir dans tous les étages au-dessus du laboratoire. L'équipe mesura le poids de toutes les manières possibles, utilisa une isolation métallique, des cibles non magnétiques et placées dans le vide et en arriva à conclure qu'il se produisait une réduction de poids de l'ordre de 2 voire 4 % lorsque deux appareils étaient superposés.

Cette découverte révolutionnaire ouvre la voie à de nouvelles méthodes de propulsion et de locomotion. La NASA est déjà intervenue auprès des Finlandais en manifestant l'intention de financer d'autres recherches qui devraient préciser comment l'effet antigravitationnel peut être utilisé par des appareils volants.

(Ndlr : Voici à ce propos quelques vidéos représentant ces expériences effectuées par la Nasa.
Les expériences d'anti-gravité basées sur la loi de Meissner.
La première expérience mettant en évidence la supraconductivité est celle de la lévitation magnétique ou l'expérience de l'effet Meissner. Il s'agit de refroidir la pastille dans l'azote liquide pour que la céramique acquière son état supraconducteur (il faut souligner ici que seul l'état supraconducteur importe, le refroidissement n'étant dans ce cas qu'un moyen pour y accéder) ; dans cet état, aucun champ magnétique ne peut traverser la pastille. Ainsi, en posant un petit aimant au-dessus de la pastille, celle-ci expulse le champ magnétique de l'aimant, créant ainsi une force de répulsion agissant sur celui-ci et compensant son poids : l'aimant lévite au-dessus de la pastille. Vous constaterez que la Nasa travaille activement sur le problème depuis au moins 1997.
Depuis 5 années ont passé. Quoi de neuf ?…)

Les savants de l'Université Technologique de Tampere en Finlande ont expliqué que cet effet pourrait conduire à une nouvelle source d'énergie, au moyen de laquelle des fluides pourraient être véhiculés par des turbines génératrices d'électricité. En faisant remonter tout d'abord le fluide contre la pesanteur et le laissant ensuite retomber avec elle, il est possible d'engendrer de l'énergie. D'autres utilisations ouvrent des possibilités inouïes, des ascenseurs pourraient s'élever de manière planante au-dessus de structures implantées dans le sol, l'utilisateur, d'une légère pression, monterait à l'étage souhaité. Les voyages spatiaux pourraient devenir affaire de routine.

Quelques remarques : Podkletnov utilise du baryum ! Il y en avait aussi dans les aimants en ferrite -baryum du VTA de Floyd Sweet. D’autres personnes disent aussi se servir de baryum (dont la présence dans les aimants vient d'être récemment interdite aux USA) pour réussir leurs expériences ésotériques.
Dans les anciens textes sanskrits on trouve la manière de produire des effets antigravitationnels en se servant de mercure en rotation dans des cuves en fer, ce qui peut être rapproché des courants électriques tournants des travaux de Podkletnov.

Voir l'article de Charles Platt paru dans Courrier International n° 407 en août 1998.



SEARL John ROY Robert

John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.

Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’anti-gravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.
A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus. Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et « terriblement coûteux ! » selon Searl.

Un témoignage anonyme
Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices ou disc-rotor segmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''

C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne le revit jamais.
Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’anti-gravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre.

(Ndlr : Nous nous permettrons à titre de pure hypothèse de lier ce passage descriptif parlant de « cratères » provoqués par le procédé Searl, avec les nombreux cratères visibles sur les images satellites de la mystérieuse zone 51, où se sont effectuées durant des années, les plus secrètes expériences militaires américaines. Ces cratères sont prétendument le résultat d’expériences nucléaires. La lecture des expériences de Searl nous propose une autre possibilité qui a de quoi nous faire rêver. Remarquez bien l’alignement mathématique de certains de ces cratères qui pourrait trahir la position de décollage de certains des ovnis aperçus dans la zone…)

Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille
Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :
« Voudriez-vous accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion. »

Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.
Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : « Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir. »

Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

Les médias et le Pr Searl
Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – chères : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).
24/01/1976 BBC.1 Nationwide Prog ram /// 28/10/1988 BBC.1 Daytime /// May 1994 Southern Oregon Public Television & Local Access Cable /// 16/07/1994 Radio WCVE /// 08/09/1994 Radio WCVE /// 29/05/1995 KRO Ararat Radio Station, Hilversum.

La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :
Daily Mirrorr du 13/03/1968 /// Hants & Berks Gazette du 04/07/1969 /// Sunday Mirror du 28/11/1971 /// Parade Magazine du 19/05/1973 /// Daily Express du 25/04/1978 /// The Chronicle Toowoomba du 19/07/1995 Queensland, Australia /// Perth Paper du 07/08/1995 Western Australia /// Hendon Times du 02/11/1995 /// Raum & Zeit de décembre 1984, avril-mai, juin-juillet, octobre novembre 1989, et janvier-février1990 /// MAG2000 vers 1968, n° 4 février-mars 1995, et n°103 août-septembre 1996 /// Dansk Institut For koogisk Teknik No 21 –2 05/10/1990 /// UFO NORGE 1991 /// Extra Ordinary Science Symposium Edition Vol.VI Issue 2,n°1 mai 1994 /// SAFE NEWS n°1 oct / nov / déc 1989

A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui, ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

La destruction du travail de Searl
En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.

Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et de retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. Les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.

Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.

Des manœuvres indélicates
D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…
Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dans Electric Spacecraft Journal).

Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprès du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé, pour l'étudier, un aimant prêté par Searl).
Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.

Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).

Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.

Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu
Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.
Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.

Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédé, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.
Cette déception était d’autant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-gouttes. L’affaire n’avait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas :
John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316
Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 –e-mail :
discjt@servtech.com

Un SEG est composé d’une série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. L’appareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et d’aluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi qu’une double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).
Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants aux douze cycles ou phases minimums d’un moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.
L’appareil est stationnaire : les électrons sont émis de l’élément central et ils circulent dans les autres éléments. L’élément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et l’a utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, s’arrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier d’électrons dans le SEG.

Les balais capteurs d’électrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à anti-gravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent l’énergie à utiliser et la transfèrent à l’endroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens qu’au lieu d’alimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.

Les Champs magnétiques imprimés
Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D’habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen d’un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.
Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non-unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l’unité en allant vers une orientation nord-sud.

L’impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant d’abord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à l’oscilloscope la forme de l’onde imprimée.

Si l’on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels…un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l’extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n’est en contact avec les autres, il n’y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à l’heure et deux fois et demi plus vite en allant vers l’extérieur.

L’effet Searl est mesurable
Au séminaire de l’Université du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de l’oscilloscope au centre du segment, l’autre sonde touchant l’anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l’oscilloscope. Ce pic a montré qu’il existe vraiment une charge lorsqu’une combinaison d’éléments est pressée et mise en forme d’une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.
Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c’est à dire, une libération d’électrons qui est une preuve de charge.
Il est donc possible d’extraire de l’électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d’électrons en captant le potentiel de cette fabrique d’espace environnant. Il y a donc là une source d’électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.

Importance du choix de l’élément
En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui n’est pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer l’effet.
Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).

La Loi des Carrés
La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas l’a étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale qu’un carré de groupe 1 tourne.

Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce n’est donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation d’un carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il s’est rendu compte qu’il se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé qu’il y avait un modèle de commutation impliqué que l’on pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.

Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique
La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.

Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s’arrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais c’était le meilleur coup de chance qu’il pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.

Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo s’était abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. L’harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l’unification et stoppaient.

Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège d’un champ libéré de l’inertie. C’est le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait qu’une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d’un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.

Le rêve retrouvé de Searl
On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant d’autres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de l’esprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?

Mais Searl n’est pas homme à s’arrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".

En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur l’énergie
En 1990, à l’école de médecine de Munich, à l’Institut de l’Environnement au Danemark suivi d’une tournée de trois semaines de conférences.

En 1994, au congrès INE de Denver Colorado

En 1996, à l’Université du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à l’école supérieure du comté de Mill Hill

Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre

Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.
Direct International Science Consortium : D.I.S.C.
Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres
13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG
Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932
D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).

Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html

Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie
Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres.

Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm


Sinclaire Technology Research Ltd.
Box 839, Fort Langley, B.C. Canada, V1M 2S2.
Fax : 604 888-8641 et e-mail : magnet@smartt.com.

Pierre Sinclaire est un scientifique qui a consacré de longues années à la recherche d’avant garde sur des sources d’énergie alternative. Son travail a attiré l’attention de différents groupes qui l’ont chargé de construire des prototypes et de faire des expériences avec ces sources d’énergie. C’est ainsi qu’il a travaillé sur les principes de physique vibratoire de John Keely au sujet desquels, il a donné en 1988, sur l’invitation de Dale Pond (Président de Delta Spectrum Research) une conférence à Philadelphie.

Pierre Sinclaire s'est également intéressé à la production d’hydrogène par le mélange eau - essence destiné à donner une meilleure combustion dans les moteurs classiques, il a rendu visite à Stanley Meyer. Il a également construit un prototype de Testatika et écrit un article (distribué par the Space Energy Association, SEA de Floride) sur son fonctionnement et sa capacité potentielle, article qui a suscité des commentaires de la communauté scientifique allemande.
Il a travaillé aussi sur une alimentation sans transformateur pour les ordinateurs portables et des systèmes de distribution d’énergie allégés pour Master Tech. Corp.

De 1989 à 1995 il a travaillé avec David Hamel
(ndlr : voir TOP SECRET N°1)
Il a travaillé avec David Hamel sur une reproduction de l’un des quatre prototypes qui avait montré des effets antigravitationnels et d’autres effets inhabituels à Maple Ridge : le GMD (Gravity Magnetic Device) présenté au 3ème congrès de Denver, au Colorado, en avril 96.

Il met l’accent sur le fait que l’énergie produite, entourant le GMD est très puissante et rayonne en causant des interruptions de flux d’électrons dans les systèmes électriques (lampes, voitures, transformateurs) et interfère avec les transmissions électromagnétiques mais avec un système de contrôle adéquat, on peut stopper facilement ces effets. L’un des buts principaux du GMD est de comprendre les effets des champs magnétiques opposés inclus à angles de vecteurs variables, comme dans les théories avancées par Tom Bearden.

Tout comme l’appareil de l’Anglais Searl, le GMD montre une poussée verticale très forte qui le fait s’élever en l’air. Lorsque l’on comprendra le mécanisme interne qui est la cause des champs électrogravitationnels secondaires, on aura alors la possibilité de créer différentes machines capables de donner une énergie abondante.

Remarques sur le fonctionnement du G.M.D. par P. Sinclaire
La configuration des éléments à l’intérieur du GMD est telle qu’elle donne une variation incluse constante de champs magnétiques opposés. A l’état de repos, les cônes mobiles sont équilibrés et stabilisés dans une répulsion de champ magnétique, comme un palier magnétique. C’est ce qui est le plus difficile à faire.
On démarre le GMD en faisant descendre à l’intérieur de la coque un aimant central placé sur le dessus de la caisse, en direction des cônes mobiles en équilibre magnétique momentané.

Ce faisant, cet aimant central opposé à celui qui est fixé au centre du cône supérieur, oblige le cône supérieur à se déplacer de côté, déséquilibrant ainsi l’équilibre magnétique entre les cônes à l’intérieur du GMD. Les cônes se tiennent en repoussoirs les uns par rapport aux autres pendant un court moment, et puis une énergie ressemblant à un plasma commence à se produire autour du GMD. L’énergie crée un changement de couleur, du rouge orange au bleu clair puis au blanc. Après cela, le GMD commence à perdre du poids et fait une ascension très importante comparée à son poids.

« Jusqu’ici, le prototype a montré le même effet mécanique que David Hamel a annoncé. Quand le cône est déplacé à la main, l’air circule dans et en dehors du trou central et des bords extérieurs du GMD. Puisque le système de contrôle n’est pas terminé et les parois extérieures pas encore recouvertes, je ne peux pas parler de l’effet secondaire qui apparaît autour du GMD, mais compte tenu du fait que toutes les fonctions mécaniques ont prouvé leur justesse, je crois que l’effet devrait être celui annoncé.

A ma connaissance, cinq personnes se distinguent avec des appareils qui utilisent le principe d’opposition de champ magnétique à angles de vecteur, appareils qui font montre d’effets inhabituels similaires à ceux des appareils de David Hamel :
John Searl avec son disque en lévitation, John Hutchinson qui a montré le champ magnétique en opposition en se servant de bobines Tesla à diverses fréquences
W.J. Hooper et son appareil d’essai qui possède une bobine électromagnétique placée de telle façon que tous les champs magnétiques soient en opposition les uns par rapport aux autres et ceci dans un récipient métallique blindé ; il a montré une relation directe entre le champ à l’intérieur du récipient et le champ électrique apparaissant à l’extérieur.
Floyd Sweet qui a fabriqué plusieurs appareils prouvant qu’en exerçant une pression sur un aimant avec un champ magnétique opposé, celle-ci induit l’aimant à produire un champ secondaire dans l’espace environnant, en le piégeant ensuite avec des bobines scalaires.
Wilbert Smith qui a montré qu’en utilisant des bobines électromagnétiques bobines comme celle de Hooper, mais en faisant chevaucher deux bobines identiques, on produisait des effets inhabituels.
Tom Bearden qui, selon moi (Sinclaire) est le seul à avoir avancé la meilleure théorie pour expliquer un tel comportement énergétique inhabituel. Il a aussi expliqué ce qui est cause de cette réaction au niveau atomique »

Les schémas sont disponibles sous deux semaines pour $6 (port compris) à l’adresse indiquée. Des informations supplémentaires dans " The Granite Man and The Butterfly " de Jeane Manning et la vidéo intitulée " Conference at the Vernon Science Center " disponibles sur le site de " Project Magnet Inc."
Internet http://www.projectmagnet.com et cascadia-net.com.


ZINSSER Rudolf

Physicien allemand, ingénieur consultant en électricité, inventeur, ancien directeur de Zinsser Innovation Institut Allemand d’Aéronautique et d’Astronautique à Idar-Oberstein, Allemagne. Il a également travaillé en Afrique du Sud.
Dès les années 50, Zinsser avait découvert que certaines éprouvettes, exposées un court instant à un champ d’ondes progressives non électromagnétiques, sont soumises à une force qui peut durer des minutes, des heures, voire plusieurs mois, sans autre influence extérieure.
Son exposé, au congrès de la D.V.S. à Hanovre en 1981 avait été suivi de vives critiques de la part des allemands. Il était présent à Toronto en 1981, et les congressistes ont mieux accueilli sa démonstration qu’en Allemagne. Les Canadiens lui ont apporté leur soutien financier.

Le transducteur cinétobarique de Zinsser
Son transducteur cinétobarique, par un contrôle prolongé de la direction de son champ de gravitation local, transforme l’impulsion motrice ainsi déclenchée (soit la force motrice multipliée par son temps d’action) en énergie cinétique.
C’est par une brève mais efficace induction à haute fréquence qu’une masse d’eau voit changer sa " transparence " orientée vis à vis de la pression du champ gravitationnel. L’interception des forces du champ gravitationnel qui entre se modifie.
Il soumet environ 200 ml d’eau contenue dans un cylindre de plastique pendant une durée de une minute à une heure, à une impulsion électrique -de courant continu en dents de scie.
Cette impulsion ou déclencheur modifie le comportement de l’eau par rapport à la gravité pendant de longues périodes, voire des mois. Son installation est composée pour l’essentiel d’une balance de torsion très fiable et d’un dispositif d’enregistrement.
Dans ses essais, en 1970, il utilise des éléments de circuit oscillant à haute fréquence, les plus simples étant constitués d’un circuit avec condensateur et bobine, ou des éléments conducteurs à haute fréquence dans de l’eau conductrice ou même dans de l’eau non salée, dans un récipient adéquat.

Il faut, pour enregistrer ces écarts, puis les tracer, une balance ultra sensible. L’énergie est gratuite, ce que l’on peut prouver aux arrêts de la balance, et est des milliers de fois plus forte que celle dépensée par le déclencheur. C’est comme si on comparait l’énergie du déclencheur à celle nécessaire pour hisser les voiles sur un bateau. Cela n’a rien à voir avec la propulsion du bateau, mais fait que la seconde énergie, celle du vent peut être utilisée.
Il a été très difficile de déterminer et d’éliminer les perturbations externes, telles celles des tubes fluorescents que l’on éteint, les décharges lointaines d’éclairs, et même la présence humaine qui peut libérer des effets durant une ou deux heures .

Le Pr Peschka de l’Institut de Recherche Allemand de Technologie Aérienne et Spatiale de Stuttgart a confirmé les travaux de R. Zinsser en testant avec succès son installation. Il en a exclu toute intervention de mouvements sismiques, de courants atmosphériques, de champs statiques électriques ou magnétiques, de turbulences dues aux courants de convection, d’effets lumineux, de variations de la teneur de l’air du laboratoire en vapeur d’eau ou en gaz carbonique.

Le Pr Peschka a étudié les possibilités d’utiliser les effets de Zinsser comme force de propulsion pour de futurs véhicules spatiaux. Il crut pourtant reconnaître l’action (démentie par Zinsser) de faibles énergies électromagnétiques dans la gamme des ondes de radio ou des micro-ondes.
R. Zinsser pense que Peschka n’a décrit dans ses critiques que des manifestations secondaires de l’effet cinétobarique. Pour le Pr Zinsser son transducteur capte l’énergie du vide.

ET AUSSI

AMES ALAN
Appareil électromagnétique " Alcon Technologies Devices " à anti-gravité (Références ISNE 1994).

COOK Robert
Inventeur chez CIP Systems à Palmdale, (CA) qui a présenté au congrès de la DVS à Toronto, en 1981, son appareil dans lequel un poids en accélération est enlevé à un bras - support par un mécanisme très compliqué, pour être ensuite mis en mouvement dans la direction opposée.

EDDINGTON
En 1922, ses expériences ont montré que l’effet gravitationnel d’une masse pouvait, en fait, dévier la lumière.

EGELY Györgi
Physicien hongrois qui travaille sur l’énergie de gravitation. Il a mis au point un petit appareil autonome présenté brièvement sur ARTE le 31/01/97 à 20 heures.

HUTCHINSON John
Nous en parlerons en détail dans le prochain dossier sur les appareils sans pièces en mouvement en citant également les nombreuses expériences de lévitation qu'il a réussies et filmées. La vie de cet inventeur avait totalement changé en 1979 lors d'une expérience où le démarrage de son montage à haut voltage éjecta un morceau de métal qui vint le frapper : il avait découvert " l'effet Hutchinson ".

KELLY Don
International Association for New Science, IANS, Ft Collins CO.
Pour d’autres infos : SEA/US Newsletter PO Box 11422 Clearwater Florida 34616
Don Kelly a participé au congrès IANS en 1993 au Colorado où il a montré une maquette du convertisseur de Sweet Floyd. Il est co fondateur de Space Energy Association et éditeur de Space Energy Newsletter aux USA. NEN a publié un résumé de ses plus récentes informations en février 1997.

Les clés des procédés à Energie Libre semblent comprendre des bobinages non inducteurs. Certains appareils ont des bobinages à deux fils sur des aimants ferrite recouvrant du baryum. Ces assemblages donnent un retard de temps de 40 % sur une hauteur de chute de 1,50 m environ.

Dans ses récents essais de chute de gravité, il a trouvé une relation certaine entre ces composants soumis à une énergie et la perte de poids des matériaux. Dans d’autres pays, des recherches ont permis de vérifier que des masses en rotation perdent du poids à des vitesses de rotation élevées. Mais au moment où l’intérêt des chercheurs était maximum, l’EPA, l’agence de protection de l’environnement à interdit la fabrication et la vente du baryum, toxique, selon elle, et a suggéré de le remplacer par du strontium dans les aimants.

MURRAY Jim
S'inspirant de Tesla, ce chercheur parrainé par BWT a mis au point un appareil amplificateur de couple qui exploite une géométrie spéciale. La gravitation est mise à profit pour doubler le couple des appareils magnétiques. La roue supérieure, la plus lourde et qui d’une certaine façon est toujours en train de tomber, se déplace sur la roue inférieure En tournant, elle amplifie le couple. Pour chaque livre de force appliquée vers le bas pour faire tourner la roue, on obtient un gain net de 2 livres de force vers le haut, pour doubler le couple.

SANDY KIDD
Ingénieur écossais qui fait des expérimentations avec un appareil à anti-gravité qui est un défi aux lois physiques car il résiste à la gravitation terrestre et produit plus d’énergie que celle qu’on lui envoie.
Alors qu’il était technicien radariste de la Royal Air Force, un jour où, perché sur une échelle il enlevait un appareil à gyroscope d’un bombardier, il a eu l’inspiration pour son appareil quand, en essayant de sauter à terre, le gyroscope qui continuait à tourner le jeta violemment sur le sol.

L’explication scientifique engourdit l’esprit de la plupart des gens mais cela a lancé Sandy dans une nouvelle carrière qui l’a occupé depuis 30 ans. Des chercheurs de l’Université d’Edimbourg participent au projet de l’appareil à hauteur de $1 million. (Article de journal de Arthur Dale).

THOMAS John. A Jr
373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316
Tél : + 1 716 467 2694 Fax : + 1 716 338 2663
http://www.servtech.com/public.jasontee &

Marlin Lewis
Entertainment Enterprises 10550 Wilshire Boulevard #1302 Los Angeles, CA 90024

Il est recommandé de contacter John Thomas pour obtenir des informations supplémentaires au sujet du Pr Searl, car c'est lui qui connaît le mieux ses travaux. Depuis mars 1995, il a fondé avec lui DISC, Direct International Science Consortium.

Il a écrit une série de livres fascinants qui résument les détails de la Loi des Carrés que Searl dit être nécessaire pour produire l'anti-gravité et l'Energie Libre et peut-être aussi d'autres effets. Il y décrit aussi le disque à lévitation de Searl. On en trouve des extraits de son livre : « Antigravité, le rêve devenu réalité » sur le site de KeelyNet ; son premier livre « Antigravité » est particulièrement recommandé.

Pour récupérer des documents, suite à l'incendie qui a détruit la maison de Searl, il lance un appel à toutes les personnes qui ont photographié et filmé les disques à gravitation inverse du Pr Searl lors de leurs démonstrations.

WINFIELD Mel
Vancouver (BC)
Au congrès de Toronto, en 1981, remplaçant le physicien Gordon Allen de chez Boeing, il a fait quelques expériences intéressantes où différentes choses : des tuyaux de métal, des morceaux de plastique, de fer, et de bois, étaient mis en lévitation à environ 50 cm au-dessus du sol avant de retomber en suivant une trajectoire en arc latéral. C’est une induction extérieure à très haute fréquence qui produisait la modification des forces gravitationnelles dans ces objets. A noter : l’explosion de la bobine d’une perceuse qui commençait à léviter. De très fortes libérations d’énergie étaient apparemment induites dans les bobinages du moteur électrique. C’est la Compagnie Canadienne Pharos (voir Hutchinson) qui a construit cet équipement aux propriétés antigravitationnelles et perturbatrices.



DES THÉORIES AU SUJET DE LA GRAVITATION

On peut se demander pourquoi il va beaucoup être question d'éther (aether) dans cette partie alors que le sujet est la gravitation. La réponse tient au fait que l’éther en tant que médium est probablement nécessaire au phénomène d’antigravitation.


On considère les forces gravitationnelles comme extrêmement faibles en regard des forces électrostatiques et magnétiques. Comment le champ de gravité d’une masse telle que la terre peut-il être suffisamment perturbé pour neutraliser la force de l’attraction terrestre ? Cela ne semble pas être faisable si la gravité voyage dans un espace vide. Cependant, si l’espace est rempli d’une substance du genre éther, également essentielle à la propagation de la gravité, alors on peut concevoir que l’on puisse contrôler cet éther pour avoir la possibilité de manipuler la gravité en se servant de l’énergie contenue dans ce même éther. Donc, l’évidence de l’éther décrite ci-dessus rend plus plausible le concept d’anti-gravité.

Dans ses écrits sur la gravitation, le Dr Nieper dit que seuls quelques rares scientifiques comme A. Magyari, K.P Stanyukovitch, et le groupe d’Anatol J. Schneiderov se sont jusqu’ici sérieusement penchés sur ce problème et ont critiqué les déficiences des lois existantes.

Depuis 1953, le Dr Nieper pensait, comme Magyari et Stanyukovitch, que le rayonnement du champ '' radional '' pénètre les corps aussi bien que les masses dans l'univers mais en perdant ainsi de l'énergie. Cette énergie qui quitte le corps après l'avoir pénétré est inférieure à celle qui provient de l'extérieur ce qui a pour conséquence l'accélération gravitationnelle dans la direction de la masse. Pour exemple, l'interception par la Terre de l'énergie gravitationnelle qui la pénètre lui fait perdre 4 à 4,5 % de masse (un document NASA sur les lunes de Jupiter indique même 25 %).

De nombreux auteurs se demandent s'il n'est pas possible d'expliquer la chaleur du Soleil par d'autres mécanismes que celui de la fusion, mais par la densité du champ de tachyons, que le Dr Nieper dénomme coussin périsolaire. Le Dr Nieper a établi une théorie dite de l'écran gravitationnel qui l'a amené à penser que le magnétisme statique d'un noyau de fer ou une induction électromagnétique modifie la ''transparence'' du rayonnement du champ radional et le fait dévier, ce qui expliquerait par exemple les accélérations de la baguette de sourcier ou du pendule.

Nieper, Stanyukovitch et Schneiderov avaient rejeté, depuis longtemps, comme improbable, l’hypothèse d’une attraction de masses ou d’une attraction de la terre. Au début des années 20, Levetzow, ingénieur allemand pensait que l’accélération gravitationnelle n’est pas un phénomène d’attraction mais de pression. Il n’a pu faire passer sa vision des choses face à Einstein qui vivait à la même époque à Berlin et avait une influence puissante. Néanmoins, plusieurs physiciens russes ont suivi ses idées.


Théorie de J.M.J.Kooy et J. Berghuis

La constante de Gravité serait une fonction du rayon de courbure d’un espace cosmique sphérique. Il semble pertinent de mentionner la mer de gravitons qui constitue une hypothèse de J.M.J.Kooy physicien hollandais et qui est en rapport avec un texte de Dudley qui parle de la mer de neutrinos.

Concevoir la gravité en tant que force externe implique davantage la possibilité que les corps ne s’attirent pas l’un vers l’autre mais sont mus ensemble par une sorte de rayonnement cosmique provenant de toutes les directions de l’infini physique. L’espace tout entier est occupé par des particules gravitationnelles se déplaçant de façon homogène (dans tous les sens) qu'il nomme gravitons venant de toutes directions. Ils existent depuis l’aube des temps, ont à peu près la même taille que les neutrinos, se déplacent beaucoup plus vite que la lumière et ont une masse résiduelle imaginaire. Ces particules entrent constamment en collision avec les particules ordinaires mais en raison de leur isotropie l’effet total des collisions est nul.

On peut les assimiler à des photons, sans masse résiduelle, mais avec une masse positive en raison de leur vitesse. On peut alors appeler ces particules " quantum de gravité ". Un graviton (à masse négative) serait alors une " absence " de quantum de gravité, de même que dans la théorie quantique relative à l’état " plein ", on peut concevoir l’absence d’un électron comme une " cavité " qui peut se déplacer à travers la structure solide.

Imaginons dans cette radiation gravitationnelle que l’on suppose uniformément distribuée, 2 particules élémentaires impénétrables à cette radiation ; l’équilibre de la pression de radiation sur chacune d’elles sera perturbé, et les particules auront tendance à aller ensemble. Si la distance entre 2 particules matérielles est grande comparée à l’étendue des particules elles-mêmes, cette apparente attraction mutuelle sera inversement proportionnelle au carré de la distance. L’attraction gravitationnelle entre 2 corps macroscopiques serait alors due à l’impénétrabilité des particules élémentaires les constituant, comme à la radiation gravitationnelle... Les conséquences de ce qui précède sont importantes en cosmologie.

En supposant un espace cosmique sphérique, le rayonnement gravitationnel se répandra dans l’espace tout entier, de manière uniforme. Cet espace se dilatant, la densité de radiation gravitationnelle décroîtra. On peut donc s’attendre à ce que la constante gravitationnelle diminue avec l’augmentation du rayon de courbure. Mais, d’un autre côté, le rayon local de courbure de l’espace dépendra de la densité d’énergie locale, et par conséquent, aussi, de la densité de radiation gravitationnelle. Si cette radiation agit sur les masses matérielles selon la description ci-dessus, sa densité d’énergie diminuera, et le rayon de courbure augmentera. C‘ est seulement en utilisant la mécanique classique que l’influence perturbatrice d’une vitesse finie de gravitation a été prise en compte.

Cependant, quand deux corps ayant une certaine masse s’approchent l’un de l’autre, ils font mutuellement écran à une partie des gravitons qui se déplacent dans leur direction, la mer de gravitons perd son isotropie et pousse les corps l’un vers l’autre. Kooy a déduit cette théorie des mathématiques, et il a découvert qu’elle était en accord avec les lois normales de la gravité. La constante de la gravitation dépend ainsi de la densité de la gravité, et décroît avec l’expansion de l’Univers.

Ce qui signifie, qu’en réalité, il n’existe pas de masse pesante, mais seulement de masse " inertielle ". Qui plus est, Kooy pense que l’esprit humain est capable d’influencer une structure atomique de telle manière que l’absorption des gravitons devient une fonction de leur angle d’incidence, et que, ainsi on peut arriver à la télékinésie et la lévitation, ce qui constituerait des servo-effets, l’énergie elle-même étant fournie par les gravitons. Il ajoute une fantastique vision du futur : si nous pouvions provoquer et réguler cette absorption différentielle, nous n’aurions plus du tout besoin d’être liés à la chimie ou à l’énergie nucléaire...


Réflexions de William F. Hassel

Lors du congrès 1996 du MUFON (Mutual Ufo Network) il disait :

''Il semble évident que les effets gravitationnels ou antigravitationnels sont associés à un mouvement giratoire de particules chargées... Le phénomène UFO fait souvent référence à des objets en sustentation et des perturbations de flux à proximité des véhicules, laissant penser que l’air est accéléré autour du véhicule, ce qui produit une poussée.

Mais de nombreux rapports font état d’objets en lévitation à proximité du sol, dans le calme, ce qui suggère l’utilisation de forces antigravitationnelles...

Ici, l’anti-gravité est définie comme une technique capable de produire apparemment un champ gravitationnel, neutralisant le champ terrestre ou réduisant la masse d’un objet. Donc, nous ne considérerons pas la suspension électrostatique ou magnétique comme des effets antigravitationnels. Même si elle est faisable, nous ne traiterons pas ici la gravité comme moyen de propulsion dans l’espace.

...On suppose que l’anti-matière peut montrer des propriétés antigravitationnelles, en respectant la matière ordinaire. Les particules d’anti-matière comme des électrons positifs, des protons négatifs et des anti-neutrons, peuvent avoir des masses gravitationnelles négatives. Bien qu’on puisse créer ces particules en laboratoire, puisque leur vitesse résultante est voisine de celle de la lumière, on ne peut pas encore mesurer la flexion d’un rayon de telles particules, à cause de la gravité terrestre, et ainsi tester leurs propriétés gravitationnelles.''

La gravitation selon Paul Brown

On accepte généralement la théorie qui dit que la matière est de l’énergie coagulée (E = mc 2). J’aimerais reformuler ceci en disant qu’un éther très dense est matière. Maintenant nous modifions notre modèle d’univers pour inclure la matière. Supposons un corps d’eau (de n’importe quelle forme, mais pour simplifier, je choisis la sphère), des ondes allant dans toutes les directions et des cubes de glace se déplaçant autour : l’eau est l’éther, les ondes sont la lumière, et les cubes de glace sont la matière, et le ballon d’eau est l’univers.

La capacité de l’éther à pénétrer un corps s’oppose à la résistance due aux propriétés de la matière. Ceci crée une différence dans la pression éthérique entre l’intérieur du corps et l’espace. La pression éthérique de l’espace est proportionnelle à sa densité déterminée par les émanations totales des étoiles de l’univers et leur éloignement. La loi des états thermodynamiques établit que toutes les choses vont du supérieur à l’inférieur, au moins jusqu'à l’équilibre. L’espace a une haute pression par rapport à la basse pression éthérique à l’intérieur d’un corps.

Nous voyons maintenant que la présence d’un corps matériel perturbe l’énergie intrinsèque normale de l’éther. C’est le véritable sens de la relativité générale ; la matière dit à l’espace (l’éther) comment se courber, et l’espace courbe (l’éther) dit à la matière comment se comporter. C’est une vraie révélation.

Les conceptions faussées et la confusion inhérentes à la relativité générale proviennent du fait que l’on travaille sur des concepts abstraits qui sont supposés ne pas exister dans la réalité physique. Nous voyons maintenant que c’est avec la dynamique des interactions entre l’éther et la matière que nous travaillons en utilisant la relativité générale.
Paul Brown poursuit :

Sir Oliver Lodge disait "Toute l’énergie potentielle existe dans l’éther", et Sir J.J Thompson disait : "Toute l’énergie cinétique est une énergie cinétique de l’éther". Brush croit que : "l’énergie cinétique de l’éther est la cause fondamentale de la gravitation, et qu’un corps en gravitation joue seulement un rôle secondaire, en perturbant la distribution normalement uniforme de l’énergie de l’éther."

La vieille théorie de la poussée de l’éther de Isendrake dit que les corps ne s’attirent pas l’un l’autre, mais sont poussés l’un vers l’autre par une sorte de " radiation cosmique " provenant de toutes directions d’un infini physique.

Santilli a formulé une théorie de champ unifié qui répond à cette forme de logique. Il identifie le champ gravitationnel comme étant " une forme particulière, ou une mutation du champ électromagnétique. " Selon la théorie sur la gravitation d’Einstein, le tensor moment d’énergie de tout champ électromagnétique agit en tant que source de champ gravitationnel.

Nous avons vu que la gravité n’est pas une vraie force, mais une force observée - "centrificale" - créée dans nos esprits à cause de l’accélération relative d’un corps et en raison de la déformation de l’éther en présence de la matière. La gravité terrestre est le résultat de quelque chose accélérant relativement à la terre. La gravité et l’accélération ne sont pas seulement relatives, elles sont une et même chose.

C'est l'éther dynamique qui permet d'expliquer les orbites planétaires. Pour visualiser cette mécanique orbitale, il faut se familiariser avec la démonstration suivante. On prend un disque vibrant, mince. On répand une poudre sur sa surface, et on le fait résonner (comme dans les expériences de Chladni) sur une note de musique fournie par l’éther dynamique. On remarque que la poudre se déplace en windrows (sic) concentriques, espacés d’une longueur d’onde. Quand les cercles se rapprochent du centre, les vibrations rayonnantes cassent le modèle circulaire (si l'on fait tourner le disque, les lignes des rayons ressembleront alors à une nébuleuse en spirale).

Le Soleil émet une large gamme de fréquences qui rayonnent dans toutes les directions, pendant que des ondes électromagnétiques le pénètrent en venant de toutes directions. Ceci produit un modèle d’interférence semblable à celui du disque et dans lequel les planètes occupent les nœuds les plus profonds dans le système solaire. L’espace solaire est rempli d’un nombre infini de nœuds harmoniques supérieurs dont chacun d’eux est capable d’attirer et fixer une masse de matériau. Lorsque l’on voit des corps interplanétaires attirés vers des endroits où il n’existe aucune masse centrale, pour établir un champ gravitationnel selon la théorie contemporaine, on a alors la preuve que les orbites planétaires sont dues à la dynamique de l’éther.

Voici pourquoi une planète trouve son orbite à un endroit précis du système solaire, mais on est en droit de s’étonner de voir ses révolutions autour du soleil sur cette orbite. En examinant attentivement le disque, on discernera éventuellement que le flux d’énergie ne s’arrête pas aux nœuds, mais subit une brusque rotation à angle droit, alors que sa fréquence d’onde et sa vitesse se transforment.

Puisque la gravité est un résultat des différences de pression éthériques, on peut alors pratiquer l’anti-gravité par la situation inverse, c’est à dire en créant une zone où la pression éthérique est forte et la densité plus basse que dans la zone "emediate". Imaginons un hamster dans une balle de plastique, sur le tapis. Quand le hamster bouge, la balle bouge avec lui, il peut alors circuler partout sur le tapis, et ne jamais quitter la balle. On peut produire une telle zone d’anti-gravité en employant des champs de force électromagnétiques ou plus subtilement des résonances harmoniques. (Voir John E. W. Keely dans notre précédent Energie Tachyon…)

Brush a réussi de nombreuses expériences en essayant de déterminer la capacité de pénétration de l’éther sur diverses substances. Ses résultats s’expliquent uniquement par l’éther dynamique.

C’est la logique qui conduit à affirmer que l’éther doit exister. En se servant de l’éther dynamique, on peut expliquer le mécanisme de la gravitation, aussi bien sur la terre que dans le cosmos. Avec l’éther, on peut voir une explication à des choses comme les nébuleuses spirales, et mieux comprendre la relativité générale. La compréhension de la dynamique de l’éther permettra à notre technologie d’utiliser l’anti-gravité et de domestiquer l’énergie de l’espace.


EXPERIENCES HISTORIQUES CONCERNANT LA GRAVITATION

En 1920, à Turin, en Italie, par le Pr. Q. Majorana.
Les expériences concernaient l’absorption de la force gravitationnelle par un milieu intermédiaire. Il suspendait une sphère de plomb de 1,3 kg à l’intérieur d’ un bouclier de 104 kg de mercure, et trouvait que le poids de la sphère diminuait de 0,00098 mg lorsqu’elle plongeait dans le mercure. D’autres expériences, en 1926, utilisaient une masse - bouclier de 10 tonnes de plomb. On a trouvé une constante d’atténuation h de 2,8 x 10 -13 m 2 / kg où le facteur d’atténuation pour un matériau - bouclier qui a une densité d et une épaisseur t devient e -hdt. Cette théorie prédisait que le soleil est bien plus dense qu’on ne l’estime, mais l’effet gravitationnel n’est pas évident du fait de son propre effet d’écran. Un tel écran n’est pas prévu par la théorie d’Einstein sur la gravitation.

D'autres expériences et théories
Le concept de l’éther n’a pas eu la faveur dans les années 20, à cause des expériences de Michelson-Morley, qui ont fait conclure à la non existence de l’éther. Cependant d’autres expériences tendent à réfuter cette conclusion.

Le Dr Miller entreprit une grande série de 200.000 mesures d'après cette expérience sur 25 ans dont quelques-unes unes ont été faites avec le Pr. Morley. Il a démontré un effet de dérive d’éther positif de 10 km par seconde au Mont Wilson.

G. Sarnac a fait des expériences avec un interféromètre en rotation, projetant des rayons de lumière dans des directions opposées. Il a obtenu un modèle d’interférence perceptible à deux révolutions par seconde, démontrant ainsi une différence dans la vitesse de la lumière dans le sens de la rotation comparée à la direction opposée, comme on pourrait s’y attendre si l’appareil tournait dans un éther.

En 1925, Michelson avait parlé d’une expérience similaire. Elle consistait en un interféromètre attaché à une canalisation de 30 cm où on avait fait le vide, dans une configuration de rectangle de 612 m par 340 m. Le déplacement du rayon de lumière observé correspondait à ce qu’on attendait compte tenu de la rotation de la Terre.

En janvier 1959, le Hungarian Exporter, (n° 1, vol.9, 1959) publiait une nouvelle théorie sur la gravitation élaborée par le Dr et ingénieur E. Magyari. On la décrivait comme " Transfert d’Energie et de puissance par pénétration" . A la tour de radio de Budapest pendant l’éclipse solaire du 15/02/1961, l’expérience et les commentaires de Magyari sur la nouvelle physique ont fait sensation. Il en est arrivé à dire que l’accélération gravitationnelle est une conséquence d’un effet de pression.

En 1959, L. de Broglie, lauréat du prix Nobel, proposa le concept d’un éther consistant en une mer de neutrinos, - de très petites particules subatomiques de la masse d’un électron mais sans charge électrique.
Plus récemment, B. Kuclowicz, qui a examiné ce problème donne une densité de particules de 10 12 par cm 3, pour une densité énergétique effective de un joule par cm 3 .

Une des premières objections à la théorie de l’éther a été que la terre subirait un ralentissement en le traversant. Que l’éther produise sur la terre un effet retardateur par friction ou pas, dépend réellement du modèle choisi. Mais C. Van Flandern de l’U S Naval Observatory a probablement dû observer si vraiment l’éther retarde la terre et d’autres corps célestes. En effet, ses études montrent que la vitesse orbitale de la terre autour du soleil ainsi que celle de la lune autour de la terre sont toutes les deux en train de diminuer, à un taux qui dépasse celui dû à la friction des marées. Il essaie d’expliquer cela en disant que la gravité diminue avec le temps, à un taux de : une partie sur 10 milliards par an.

Cependant, il pourrait bien y avoir une autre explication, due au fait que la terre et la lune subissent ce retard en raison de leur mouvement dans l’éther. Un concept d’éther gyrostatique compatible avec la théorie de l’onde électromagnétique de Maxwell donne peut-être une explication : ce concept d’éther n’offre pas de résistance à la compression ou à la distorsion, mais il résiste à la rotation.


Expériences modernes, des perspectives dans les travaux sur la gravitation

Extraits de l’intervention de William F. Hassel en 1975, à un symposium du MUFON sur des hypothèses relatives à l’origine des Ovnis.

Maurice Allais s’est servi d’un pendule libre de tourner dans toutes les directions, mais avec un support conçu pour produire un léger mouvement elliptique. Le pendule fonctionne comme un pendule de Foucauld. Pendant un mois, les expériences d’Allais ont révélé, une période de 24, aussi bien que de 25 heures, avec de grands écarts par rapport à une progression angulaire linéaire sur un intervalle donné de 24 heures. Il a aussi été trouvé que le plan d’oscillation se décalait de 15 ° pendant une éclipse solaire totale, mais le décalage maximum était en avance de 20 minutes sur le maximum de l’éclipse.

Niels T. Sorensen utilise des radiations à micro ondes pour réaliser une réduction dans le champ gravitationnel local. Les expériences ont été faites sur cette base, à 5 kW CW et à une fréquence de 9,2 GHz. Un objet de 100 g. suspendu le long de l’axe du système perdait du poids , quand il se trouvait juste sous l’apex, et en gagnait juste au-dessus de lui. La moyenne faite sur des centaines de mesures donne 70 milligrammes.

En 1971-72, Peschka, à Stuttgart a fait une série d’expériences montrant qu’on pouvait produire une force par un système sans expulsion de masse ou de mouvement mécanique, et sans l’interaction de champs électriques et magnétiques avec l’environnement. Il ne donne pas d’explication à cet effet de force, mais il remarque le changement gravitationnel.

En Allemagne, Horst Hanschmann a un brevet (N° 2.134 182, 1975) sur un appareil qui produit des ondes de gravité en mettant en phase les spins des électrons et des protons des atomes d’une substance cristalline, par des champs magnétiques, et atteignant ainsi l’état d’énergie de la radiation électromagnétique. Bien que l’effet soit minime, l’explication se base aussi sur le concept de spin. Le concept d’éther gyrostatique, où l’éther peut réagir avec la matière en rotation, est peut-être juste.

R.M. Wood pense que l’extension de gravité sera réussie dans les années 1990. Les expériences d’aujourd’hui, n’ont que de très petits effets et ne sont pas encore assez prometteuses pour fournir une antigravitation pratique. Elles fournissent néanmoins les données sur lesquelles se construisent les nouvelles théories. Une fois qu’une théorie juste est développée, il devient plus facile d’étudier et d’optimiser les paramètres critiques pour augmenter l’effet antigravitationnel. C’est alors que la physique théorique aura résolu le mystère de l’anti-gravité, de la lévitation des OVNIs, et que le jour sera venu où des véhicules circuleront en apesanteur.

Durant l’été de 1927, deux scientifiques, en Pologne, Kowsky et Frost, remarquèrent que les cristaux avaient des propriétés spéciales antigravitationnelles. Ils donnaient suite ainsi à quelques découvertes en piezo électricité faites par Meissner chez Telefunken et qui avaient permis de trouver que des cristaux pouvaient en même temps perdre leur transparence et changer leur gravité spécifique.

Au moyen d’oscillations d’émetteurs radio de plusieurs kilowatts, d'une technique piezo-électrique, Kowsky et Frost ont fourni une suralimentation à un petit cristal. Ils se sont aperçus que les dimensions du cristal augmentent sur un côté de 200 %, et le volume s'accroît de 800 % tandis que son poids d’environ 28,35 g se réduisait. Quand le cristal subissait une excitation électrique qui le faisait monter, il était capable également de soulever, en plus de l'appareil qui le faisait flotter, et à 2 mètres environ au-dessus du sol du laboratoire, un poids supplémentaire de 25 kg.

Les comptes rendus et des photos de l’essai ont été publiés dans le journal allemand Radio Umschau et dans le n° de 1927 de Science et Invention.

Les chercheurs Dan Davidson et John Parr disent avoir obtenu (au moyen d’un champ magnétique et d’une rotation) une réduction de poids momentanée de 50% lors d’une de leurs expériences. Ils ne sont pas les seuls à dire que l’on peut augmenter ou diminuer (perte de poids) l’afflux de l’éther en utilisant tout mouvement d’énergie ou de masse qui se déplace dans un certain sens.

Toutes ces expériences ont un lien commun, la possibilité d’avoir influencé l’alignement de spin des molécules des appareils expérimentaux. Il se peut que le rayonnement de micro ondes soit entré en interaction avec les atomes de l’objet testé, et avoir produit un alignement des spins atomiques, et un mouvement rotatif mécanique peut aussi avoir produit un effet similaire.


Autres théories sur la gravitation

De John Worrell Keely : le temps est gravitation
L’aether afflue dans la matière pour produire une force de compression que nous nommons gravité. Toute la matière et l’énergie ne font pas qu’en jaillir, mais reviennent à l’état d’éther. Le flux de l’éther dans un agglomérat de masse est compté en partant de la manifestation, à la maturité et au retour dans l’éther. Ce chronométrage est un sous-produit du flux de l’éther et mesure ainsi le vieillissement de la matière. Les passages par la naissance, l’âge mûr et la mort sont mesurés par le temps, c’est pourquoi, en réduisant ou en accélérant le flux de l’éther, cela influencera proportionnellement la gravité et le temps.

De David Hamel : Le poids en vitesse
Si l’on crée un puits de faible densité et que l’on place une masse sur son bord, elle tombera dedans. Ensuite, on déplace le puits de façon que la masse reste toujours sur le bord. Elle continuera à continuer de tomber en avant en essayant de remplir le puits. C’est tout comme la carotte placée devant la mule qui traînera une charge en la suivant. Dans l’éther, si l’on crée ce genre de puits, l’éther environnant affluera continuellement en cherchant à remplir le puits jusqu'à ce qu’un équilibre s’installe. Si l’on enfonce très vite une main dans de l’eau, on crée pendant un moment un puits qui bientôt sera rempli par l’eau environnante s’y précipitant pour ré-établir l’équilibre. Ce n’est pas qu’une réponse pour la poussée, mais aussi pour l’énergie et pour l’ascension.

De Michel David
Chercheur français indépendant, il explique depuis une trentaine d'années que nous vivons dans un système de poussée universelle. Pour lui, la gravitation n'est due qu'à la présence de la matière née de l'agglomération des gravitons. Le graviton étant l'ultime particule, mère de toutes les autres particules qui n'en seraient qu'un état dégradé comme les quarks, électrons, photons…

L'éther serait donc formé de ces gravitons venant de toutes parts du cosmos, pénétrant toutes choses mais se laissant parfois piéger au cœur de la matière, augmentant ainsi sa masse continuellement et créant le feu interne des corps célestes. Les corps ne seraient donc pas attirés les uns par rapport aux autres, mais poussés en fonction d'un " cône d'ombre éthérique " créant la gravitation par un déséquilibre dans l'éther. De ce fait, pour agir sur la pesanteur, il suffit de trouver un écran manipulant et régulant la densité de gravitons autour du corps sans toutefois en être solidaire. L'objet peut alors se déplacer dans toutes les directions, à toutes les vitesses jusqu'à " tomber vers l'espace ".
M. David pense que ces particules seraient le support de l'Esprit Créateur Universel et même le Spiritus Mundi des Anciens.

Quelques témoignages et réflexions relatifs à des phénomènes curieux de dégravitation

Dan Davidson témoigne d'un cas particulièrement intéressant au Tibet :

"Une pierre d’un mètre cube et demi est placée dans une cuvette hémisphérique de un mètre de diamètre située dans le sol. Les prêtres émettent un bruit continu au moyen de cors, de tambours et de tout objet capable d’ajouter à la cacophonie. Je pense que le trou dans le sol réfléchit ces sons dans la pierre. Après quelques minutes, la pierre est comme sensibilisée et se trouve dans un état proche du chaos. Cinq minutes après, on frappe un gros tambour qui joue le rôle de déclencheur sonore, ce qui pousse la pierre par dessus bord (hors limite) (au sens énergétique).

L’afflux de l’éther dans les centres neutres de la pierre fait qu’ils sont perturbés par la cacophonie. Lorsque retentit le gros tambour, tous les sons se concentrent, comme dans un laser acoustique, pour repousser et détourner l’éther de la pierre. Comme dans l’expérience Finlandaise à l’Université Tampere, le poids de la pierre est réduit fondamentalement (pas supprimé). Alors, la pierre ressemble à un bloc de polystyrène pendant quelques secondes. La pression de l’air accumulé dans la cavité sous la pierre fournit une poussée explosive qui la projette en l’air et sur le bord."

Selon des géologues sibériens la montée et la descente du niveau de l'eau des grands océans dépendent de la rotation de la Terre. Depuis la fin des années 30, un ralentissement de la vitesse de rotation de la Terre s'est produit, s'est arrêté, et a été suivi ensuite depuis 1972 par une accélération. On peut comparer ce processus aux fluctuations scientifiquement constatées de la surface de l'eau de la mer Caspienne. On a mis en évidence qu'un ralentissement provoquait une montée des eaux alors que l'accélération les faisait baisser. Ce sont des phénomènes que l'on constate aussi pour la mer d'Aral, le lac (ou la mer) des Balkans au Kazakstan, à Njassa, en Afrique ainsi que pour d'autres grandes étendues d'eau. On a trouvé que leurs réactions aux modifications de la vitesse de rotation terrestre se produisaient avec un décalage de 6 ans.

En 94 ou 95, M. Grzegorczyk (Sillerstrasse 67, 42327 Wüppertal Tél: 02 02/714614) écrivait au Dr Nieper :
"Membre de la DVS, originaire de Pologne, je m'y rends souvent. Il y a 2 ans, j'ai découvert un phénomène physique intéressant. Il y a dans les montagnes de Beskid "Zywiecki", un mont nommé Görazar. Sur la route qui mène au sommet, il existe une section de route d'environ 20 à 25 mètres où une voiture, sans élan donné, continue de monter seule, sans moteur…j'ai constaté cela avec une sensation bizarre…je vous en informe car je pense qu'il s'agit là d'une forme d'énergie qui pourrait être reliée à vos recherches."

Dans un article datant de 1994, publié dans le n° 32 de décembre 94 -janvier 95, et analysant les pertes de poids enregistrées au cours de travaux sur la bobine de Seike, N. A. Reiter de Gibsonburg, Ohio écrivait :
"Que nous tentions de reproduire les travaux de Brown, Hooper, Dotto, et autres ou choisissions de suivre nos propres idées folles, il faut se rappeler qu'il existe deux possibilités pour la Percée Finale sur la gravité.
Le contrôle de gravité nécessitera des matériaux d'avant-garde et des dépenses phénoménales d'énergie et d'argent, et il sera alors aux mains des grands laboratoires ou des industries reliées à la défense.
Le secret de la gravité peut être caché dans un procédé ou un principe ou une technologie facile à obtenir. Il ne faut peut-être vraiment que des matériaux simples et quelques watts d'énergie associés à une observation assidue. »

Bien sûr le scientifique amateur met ses espoirs dans l'option B. L'astuce qui rend cette option B possible tient dans le fait qu'il n'y a que très peu de composants modernes qui aient jamais réellement été pesés avant, pendant et après leur fonctionnement. Citons par exemple les moteurs triphasés, les cellules solaires, les LED, les jonctions de thermocouple et Peltier, les tubes laser etc.

Des systèmes de pesées calibrées sont abordables pour de nombreux chercheurs. Pourquoi ne pas débuter une « croisade » en pesant toutes sortes de choses ? Une cellule solaire au silicium perdra ou gagnera peut-être quelques milligrammes si elle reçoit ou non de la lumière ? Mais combien de personnes ont jamais eu l'idée de peser une cellule solaire ?

Voir les pages 241 à 320 du livre de Stan Deyo : "La conspiration cosmique" , éd. Louise Courteau 1991 et le site de Jean-Louis Naudin avec les travaux de Brown, le projet Arda etc.

DAVID HAMEL, INVENTEURS D’un SYSTEMES ANTIGRAVITATIONNELS
ET MAGNETIQUES
David Hamel a construit son vaisseau spatial et s’apprête à rejoindre la planète Kladen.


Comment tout à commencé. Le principe de son appareil.
David Hamel§Gravit7[1] est âgé de 77 ans. Il n’a pas fait d’études universitaires et a été charpentier et constructeur de moulins pendant une grande partie de sa vie. Il est auteur de L'homme de granit et le papillon§Gravit18[1].

Le 12/10/1975, David Hamel, sa femme et un ami se reposent chez eux à Maple Ridge, une zone faiblement boisée, peu peuplée de la Lower Fraser Valley de Colombie Britannique, tout près de Vancouver. Cette région est connue pour ses fréquentes observations d’Ovnis. D'ailleurs, David Hamel, alors qu’il était à l’Armée, avait déjà vécu une première rencontre avec un Ovni.
Voici ce que raconte David. De l’écran de télévision devenu neigeux, il a vu émerger deux êtres, homme et femme, vêtus d’une combinaison d’une seule pièce qui s’approchèrent de lui, touchèrent son bras, et lui transmirent par télépathie leur souhait de l’emmener dans leur vaisseau stationné au-dessus de chez lui. (Pour Graham Conway qui a pu rencontrer David Hamel grâce à l'obligeance de M. et Mme George S. Merchant, cette rencontre avec les extraterrestres semble être une sortie hors du corps…)
David accomplit alors un voyage (estimé à quinze minutes) dans un vaisseau dont les hôtes se sont présentés comme venant d’une planète, Kladen, située à 4,8 milliards de km de la terre. On lui fit passer un examen médical avec un appareil et son problème de dos ne passa pas inaperçu. Il fut répondu à toutes ses questions, techniques ou philosophiques avec des informations qui dépassaient de beaucoup son niveau de connaissances, ce qui lui donna plus tard une frustration de ne pouvoir décrire toutes ces idées.
Le vaisseau possédait un laboratoire avec un appareil purificateur d'eau, mais n'avait pas de couchettes, inutiles - on flottait pour dormir - en raison des aimants activés autour du vaisseau. La machine dont on voulait lui expliquer la construction était mue par un mouvement perpétuel.
On a dit à Hamel que la technologie de l’Energie Libre avait déjà été donnée à nos ancêtres plusieurs fois au cours de l’histoire, et qu’on pouvait en trouver des preuves dans des artefacts et des légendes. On lui a dit aussi que les humains, en se servant d’une technique énergétique produisant de la chaleur et en gaspillant l’énergie n'avaient pas choisi la voie naturelle qui était de produire un refroidissement en se servant de forces d’implosion plutôt que d'explosion.
" Dans un peu plus de vingt ans, tout sera détruit sur terre ; c’est le magnétisme qui va changer. Cela se produira quand l’alignement des planètes et du second soleil se fera pendant trois jours et trois nuits et occultera notre soleil, entre 2000 et 2005 " a-t-il été dit à Hamel.
L’aventure se poursuivit avec le séjour des êtres chez David. Invisibles aux yeux de sa femme Nora, même si elle entendait leurs bruits de pas, voyait les portes s’ouvrir et les couvertures bouger sur les lits. Ils promirent qu’un jour viendrait où Nora pourrait les voir.
Plus tard, ses visiteurs constatant que les travaux avançaient annoncèrent leur départ tout en promettant de revenir. A la date prévue, une voiture orange arriva et trois personnes de type oriental à peau foncée que David identifia comme ses précédents visiteurs, en sortirent. Ils restèrent trois heures pendant lesquelles David, les vit tenir la main de sa femme et converser avec elle, alors que, atteinte d’une paralysie cérébrale toute communication lui était difficile. David ne se considère pas comme un médium, pourtant, depuis cette visite, il lui arrive certaines choses comme l’écriture automatique, le voyage astral, et de ne pas apparaître sur des photos…
Les plans, qui auraient fait lever les bras au ciel à tout ingénieur ou dessinateur ressemblaient davantage à une conception d’artiste qu’à une machine aboutie. Dans son atelier, David a de très nombreux dessins (quelque peu différents des modèles de la physique d’Einstein) et dont l’un, en particulier représente la relation entre l’espace, le temps et la kriptonique (une substance physique / non physique composant tous les atomes) qui peut être mise au service de la production d’Energie Libre.
Le temps passa et David Hamel qui manquait de moyens, de place et de savoir faire technique, chercha de l’aide comme en témoigne un volumineux courrier venant d’institutions prestigieuses dont des instances officielles (Premier ministre de l’époque, Conseil de Recherche National, Conseil Scientifique du Canada…) Les réponses montraient du scepticisme mais ne décourageaient pas Hamel. C'était par exemple : " pas d’argent à dépenser… tous nos encouragements…contactez-nous ''. On lui a même écrit '' nous doutons que votre appareil soit un avantage pour nos propres opérations…" Pour la plupart, ils demandaient à être tenus au courant dès qu’un modèle fonctionnerait ce qui n'empêcha pas que sa demande de subvention auprès d’un parlementaire local soit rejetée. Les moyens financiers manquent toujours, même si l’enthousiasme et l’énergie sont présents. Comptant sur sa pension d’invalidité pour couvrir les coûts de construction de la machine, David s’engagea dans un emprunt de $2500 lui permettant de démarrer. (De nos jours, son investissement dépasse les $7000).
Principe de base de l'appareil de Hamel
C’est comme une tornade se déplaçant avec violence vers le haut dans le vaisseau pour produire une friction phénoménale. Le cône à l’intérieur du cône oscille à grande vitesse et est constamment maintenu en déséquilibre. Quand les cônes oscillent et que l’air se précipite entre eux, des éclairs comme des flashs apparaissent. Dans son voyage à bord du vaisseau Hamel a vu sur les bords de nombreuses ouvertures qui permettaient à l’air d’entrer et de sortir alors qu’il se précipitait entre les cônes. Outre le contrôle du volume d’air, ces ouvertures jouaient un rôle dans la direction du flux. L’air se déplaçant à grande vitesse dans les espaces entre les cônes en oscillation devenait ionisé ce qui produisait un courant de particules chargées.
Non seulement les cônes produisaient de l’énergie mais ils fournissaient aussi la propulsion au moyen d’une petite balle légère roulant sur une trajectoire circulaire dans un espace restreint. Le mouvement circulaire de cette balle (voir l’expérience réalisée par Jean-Louis Naudin) parait être un mouvement de chute, à la recherche de l’équilibre.
La zone supérieure des cônes était suspendue sur des parties magnétiques maintenues en déséquilibre pour soutenir la disruption de l’équilibre et produire l’effet d’oscillation.
Nota : Le concept de cette machine avait été décrit dans Flying Saucers Review par Andrew Collins.
Imaginez un disque horizontal, suspendu sur un point, tombant sans cesse ou s’inclinant sur le côté pendant qu’une boule de métal roule sur son bord. Ceci produit l’effet de palpitation que Hamel dit ressembler à un papillon au-dessus d’un champ magnétique. Les aimants ne s’usent pas car ils sont en suspension sur un champ magnétique.
Les mouvements des cônes§Gravit3[1] produisent un champ électrogravitationnel qui fait perdre au vaisseau sa relation avec la gravité, neutralisant ainsi son poids. Le mouvement du vaisseau peut ainsi être contrôlé en enlevant la boule de sa trajectoire de rotation.
Cet appareil§Gravit9[1] utilise deux principes : le poids en vitesse et le principe magnétique comme celui du Spinner de Hamel - l'aimant déstabilisant du dessus. Le premier cône qui oscille équivaut au plus petit disque magnétique et à la bille qui roule.
Le principe magnétique : le Spinner tend à se mouvoir sur une trajectoire circulaire sous le plus gros aimant déstabilisant. C’est du en partie au fait que les cônes oscillent. Ils recherchent leur équilibre, mais ils ne peuvent le trouver que d’une façon dynamique. Le champ développé à l’intérieur et autour de l’appareil est comme un puits gravitationnel, c’est aussi en partie la raison de l’oscillation des cônes. Jean-Louis Naudin dit : " le poids en vitesse, c’est ce qui exerce une traction sur les cônes ou sur la boule de granit. La boule tombe perpétuellement dans un trou noir d’énergie potentielle, mais sans jamais le trouver ! C’est un mouvement perpétuel. Bien construit, cela peut marcher des milliers d’années !"
Pour sa première expérience, David essaya de reproduire le système du cône dans le cône avec une jante de vélo et des aimants fixés avec du ruban adhésif, les cônes étant placés dans un bidon en fer de 120 litres. Sous l’action des champs magnétiques les cônes oscillaient de plus en plus vite, pour se stabiliser ensuite à une certaine vitesse. L’expérience se termina pendant la nuit. David voyant une lueur rouge dans le salon, pensa qu’il y avait le feu, puis se rendit à l’atelier pour constater que le bidon était porté au rouge, avant que tout n’explose. En fait il s’agissait plus d’implosion que d’explosion.
David dut aller en Californie pour se procurer les aimants adéquats, et il dut aussi acheter des livres. Mais, faute de moyens, la machine de Hamel n'a guère de résistance car ses matériaux ne sont pas adéquats. (Paul Fulcher, spécialiste en photos Kirlian et Rudy Langen ont tourné une vidéo pour aider Hamel à faire connaître son appareil et lui offrir ainsi une certaine capacité de financement)
Une autre expérience de David Hamel consistait en un appareil de 2,20 mètres de diamètre et 1 mètre de haut placé sur une plate-forme où l’on accédait par une échelle de 5 mètres. Une fois vissé le couvercle de poubelle qui comprimait l’aimant du dessus qui faisait osciller le cône, des lueurs sont apparues. L’appareil est passé du rouge au vert alors qu’il s’élevait de la plate-forme. Il devint ensuite bleu, puis blanc brillant lorsqu’il décolla et fila dans l’espace. Pendant les expériences le poste de télévision tombait en panne et tout le voisinage n'avait plus de courant ce qu'il n'appréciait guère, pas plus que les secousses telluriques qui se produisaient aussi. Il y eut également d'autres effets inhabituels, des films voilés ou des photos à double exposition (ce que Dan la Rochelle a appris à Jean-Louis Naudin). L’appareil peut aussi produire divers effets d'ondes scalaires.





L'Antigravité un secret bien gardé (Vie pratique - Science et Technologie)    -    Auteur : JP - France


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dernière mise à jour : 2007-05-07

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