Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres
L'ÉNERGIE DU VIDE POURRAIT NOUS SUFFIRE A PRODUIRE TOUTE NOTRE ELECTRICITE

« Combien de temps (en partant de 1984) faudra-t-il attendre pour que la conversion de l’énergie du champ de gravité soit disponible à grande échelle ? » écrivait le Dr Nieper en donnant l’exemple suivant. « Le 17 décembre 1903, les frères Wright effectuaient à Kitty Hawk le premier vol réussi, enfin, presque le premier. Car Karl Jatho, né en 1873, fonctionnaire municipal originaire de Hanovre, qui n'avait pas été autorisé à faire connaître son « hobby », l’aviation avait pourtant réussi, dès le 18 août 1903 le premier vol avec moteur…un bond de 18 mètres à 1 mètre du sol, pour 40 mètres pour les frères Wright…Jatho est mort dans l’oubli le 8 décembre 1933. Entre les premiers vols de Jatho et des frères Wright et le premier jet Heinkel en 1939, il s’est écoulé 36 ans, et 56 avant le 707. »

Mme le Dr Jacqueline Bousquet, Université Michel de Montaigne, Bordeaux écrit dans « Science dans la lumière » St-Michel Editions 1992 : «...les barrages sont disposés sur le chemin de certaines informations comme si un filtrage était effectué, ne laissant passer que ce qui est conforme aux théories du moment. Si nous comparions la société à un grand corps, analogue au corps humain, nous pourrions envisager quelque part un système immunitaire constitué d’individus non reconnaissables à première vue et dont la fonction serait d’empêcher que certaines découvertes viennent trop tôt, mettant ainsi en péril la survie du système sur lequel cette société est basée. Ceci serait valable si l’analogie pouvait être poussée jusqu’au bout et si, après une reconnaissance de l’étranger, suivait une tolérance afin d’essayer d’assimiler l’autre et de le faire sien. Ce n’est malheureusement pas le cas : le système fonctionne uniquement sur le rejet, se privant par-là d’une quantité d’informations susceptibles de le faire évoluer. »

Wolf-Michael Catenhusen, président au Bundestag du groupe pour la recherche, et l’évaluation de l’avenir des technologies à Bonn dit : «...Ces dernières années, j’ai déjà été informé par différentes sources sur la théorie du VFE (Energie du Champ du Vide). Toutefois, cela ne me passionne pas. C’est pourquoi je n’ai pas l’intention de m’investir davantage dans ce domaine... »

A comparer avec ces propos de Wolfram Bahman, secrétaire de PACE : « De nombreux chercheurs n’ont pu imposer leurs découvertes face à la résistance des banques, des grandes industries, des militaires, et des services secrets. Le combat contre la pollution mondiale grâce à l’acquisition d’énergie nouvelle peut être gagné, mais on se pose toutefois la question : doit-il être gagné ? »

Mauvaise foi

Herbert Pietschmann, professeur de physique théorique à l’Université de Vienne dit : « …je considère que l’inertie et la gravitation résultant des champs électromagnétiques, visions présentées par le Dr Puthoff, sont du charabia. Certains collègues qui ont fait de leur mieux pour obtenir un rendez-vous chez Methernita pour y analyser leur machine, m’ont dit qu’il fallait payer très cher pour pouvoir jeter un coup d’œil six mois plus tard. Si c’est vrai, il s’agit pour moi, d’une escroquerie. » Cette déclaration est vivement contredite par le Dr Nieper : « Faux, le convertisseur fonctionne sans l’ombre d’un doute, il lui a été aimablement et gratuitement présenté en 1983. »

Le 24/02/94, Pr Ernst U. von Weizsäcker de l’Institut Wuppertal pour l’Environnement, le Climat et l’Energie : «...Depuis plusieurs années, je suis de loin les informations sur le VFE. En tant qu’ancien biologiste dont la position se situe entre l’environnement et la politique, je ne suis pas en mesure de m’informer des comportements physiques véritables de ce type d’expériences et de ces affirmations comme on devrait pouvoir le faire à une telle place. Dès que les physiciens compétents et les électrotechniciens se seront mis d’accord sur le fait qu’il s’agit d’une technologie reproductible, je m’en occuperai de plus près. »

Le 13/12/96, le Pr Weizsäcker de l’Institut de Climatologie, de l’Environnement et de l’Energie du Wuppertal : « …je ne suis pas encore convaincu du bien fondé de l’énergie VFE. Quand la communauté scientifique se mettra d’accord, je serais prêt à m’informer de la portée politique de l’énergie. » (point de vue de la majorité des scientifiques qui a peu évolué depuis cette époque, NDLR).

Condamnations

Une cour de justice a dû se prononcer au sujet d’une question scientifique, une première ?

L’affaire concernait Martin Fleischmann, Stanley Pons, Tullio Bressani, Giuliano Preparata, et Emilio Del Giudice contre le journal La Republicca s.p.a., Eugenio Scalfari et Giovanni Maria Pace. (voir dossier sur la Fusion Froide du site Quant’homme).

En octobre 1991, la Republicca avait publié un article sous la plume de leur rédacteur scientifique Giovanni Maria Pace, qui avait fait la critique du livre « Faux Prophètes », et avait principalement suggéré que la Fusion Froide était une fraude scientifique. Les noms de Fleischmann et Pons étaient mentionnés, ils étaient traités de « prêtres fornicateurs » (ce que Nature qualifie de langage coloré). Des lettres venant de Bressani (Turin), Preparata (Milan), et Del Giudice (Milan) ont été adressées au journal et publiées. Les cinq ont alors poursuivi en justice le journal, son rédacteur et le journaliste en demandant 8 milliards de lires de dommages (environ 5 millions de dollars).

La cour désigna le Pr. Giovanni Licheri de Cagliari pour évaluer les 105 pièces de preuves scientifiques présentées. Les cinq plaignants ont demandé au Prof. Daniele Gozzi (Rome) d’être leur conseiller. La Republicca, quant à elle, a choisi Douglas Morrison, du CERN, à Genève (voir Nature 363(1993)107).

Les deux parties fournirent ensuite des preuves écrites.

Décision du tribunal : la plainte de Fleischmann, Pons, Bressani, Preparata, et Del Giudice a été rejetée. La cour les a condamnés à payer les dépenses légales, environ 20.000 dollars…

Même si le tribunal a conclu que Fleischmann et Pons avaient présenté leurs résultats correctement car leur article avait été soumis à la publication le 13/03/1989, et avait été accepté le 22, avant la conférence de presse du 23, il a jugé que depuis 1991, les progrès avaient été minces et qu'il n’y avait pas de bonne théorie capable d’expliquer la Fusion Froide. Il y avait échec dans l’observation des produits de fusion (tritons, neutrons, protons, 3He, 4He et rayons gamma) qu’on était en droit d’attendre.

Le tribunal a dit que Fleischmann et Pons fournissaient des données différentes et contradictoires selon le moment, noté qu’ils avaient omis de citer les travaux du Pr Jones, critiqué leur façon de traiter avec la presse et de considérer les développements futurs, et a conclu qu’ils étaient loin de la réalité.

Pour le tribunal la plupart des scientifiques ayant abandonné la Fusion Froide, il a donc été jugé que les commentaires qu’avaient faits Giovanni Maria Pace dans l’exercice de sa profession étaient justifiés par les grandes discussions et contestations suscitées par la Fusion Froide.

Ce jugement est à l'image de celui de l’ American Physical Society qui, sans prendre connaissance du dossier, a voté à main levée pour condamner toute expérience sur la Fusion Froide.

L’éminent professeur John Bockris, spécialiste en électrochimie, défenseur de la fusion froide et des transmutations à basse énergie fut, en 1993, accusé de fraude et contraint d’organiser ses conférences hors du campus de l’Université A&M au Texas à la suite d’une pétition de ses collègues. Il fut finalement « blanchi » par une commission d’experts.

Julian Schwinger

Quelques exemples de censure,
tracasseries et menaces

D'autres exemples sont évoqués dans les biographies de certains chercheurs sur le site Quant’homme.

Julian Schwinger, un des pères de l’électrodynamique quantique, prix Nobel a démissionné de Physical Review Letters à la suite de leur refus de publier son article sur la Fusion Froide.

Dans une lettre ouverte datée de 1991, Paul Brown écrivait :

« Depuis 1978, alors que j’étais étudiant, je suis impliqué dans la recherche sur l’Energie Libre. J’avais entendu de nombreuses histoires cauchemardesques au sujet de personnes qui avaient mis au point des choses intéressantes et avaient été persécutées, tracassées, voire même tuées…Le temps passant, vers 1982, mes travaux qui avaient une certaine portée subirent quelques critiques mineures et un scepticisme que je trouvais autant bénéfique que raisonnable…

Cependant les choses ont commencé à changer, lentement, de manière alarmante. Plus j’avais de succès dans ce que j’entreprenais, plus j’attirais des gens malhonnêtes et avides. En 1987, nous avons décidé que le temps était venu d’annoncer officiellement l'objet de nos travaux et leurs résultats…Et ce fut le début des pires ennuis. Depuis février 1987, ma compagnie et moi-même avons été persécutés par le Département d’Etat de la santé, puis le Département des Finances d’Idaho a porté plainte contre nous…j’ai commencé à recevoir des menaces, on m’a accusé de fraude, mon responsable fiscal puis ma femme furent agressés. On cambriola ma maison à trois reprises. On m’accusa deux fois de trafic de drogue. J’ai perdu ma maison, et tout récemment, la voiture de ma mère a subi un attentat à la bombe…Si je vous parle de tout cela, c’est pour vous dire qu’il ne s’agit pas de coïncidences. Je comprends maintenant pourquoi certains inventeurs disparaissent de la société. Mon conseil est le suivant : gardez un profil bas jusqu’à ce que vos travaux soient terminés, choisissez avec soin vos partenaires en affaires, protégez-vous ainsi que votre famille, sachez que ces histoires de cauchemars sont vraies…ne perdez jamais la Foi. »

William Hyde récent détenteur de brevet a écrit cet appel Urgent :

« Le Département d’Etat de l’Energie et divers grands groupes ont tenté, et continuent de le faire, de supprimer la technologie de l’énergie nouvelle. Ils se servent de tracasseries, de menaces de mort, de chantage, d’extorsion et ils emploient des gens chargés de faire des poursuites judiciaires sans fondement mais qui ruinent les inventeurs. Depuis cinq ans, je suis traîné dans les tribunaux pour des choses insignifiantes. Sans aide du peuple américain, je ne pourrais plus travailler dans ce domaine important de l’énergie car les sommes destinées à se battre contre la bureaucratie fédérale et des groupes fortunés sont prohibitives. J’ai déjà dépensé plus de $35.000, j’ai perdu 30 brevets pour l’étranger à cause de l’action du gouvernement. J’espère votre aide et vous en remercie d’avance. »

Il existe d’autres exemples de censure manifeste de la recherche d’avant-garde dans Project Censored à l’Université d’Etat de Californie. Ses étudiants publient un bulletin ainsi qu’une compilation annuelle des cas les plus représentatifs à ce sujet. Il y a aussi le livre de John Coleman paru en 1992 Coleman Conspirators' Hierarchy : The Story of the Committee of 300, et Bankrupty 1995 (Figgie Jr. 1992) qui traitent des raisons qui sont derrière ces censures.

Lors du Symposium sur la Technologie de l'Energie Non Conventionnelle le 23/09/1983 dont il a été le principal organisateur, Ken Mac Neil a commenté le texte de l'injonction de secret : Title 35, U.S. Code (1952) Sections 181-188, texte que de nombreux inventeurs ont reçu. Le texte complet peut être obtenu auprès de la Cornell Law Library.

Extrait du texte : « Il est signifié au déposant de brevet nommé ci-dessus, à ses héritiers et tous ceux à qui il est transmis, et tous ses hommes de lois et agents ce qui suit :

Par la présente, notification vous est donnée qu'il a été trouvé dans votre application identifiée ci-dessus une matière dont la divulgation non autorisée serait préjudiciable à la sécurité nationale, et il vous est ordonné de ne publier ni divulguer en aucune manière l'invention ou toute matière s'y rapportant y compris des détails non publiés jusqu'à présent sur la dite application, et en aucune façon à toute personne n'ayant pas connaissance de l'invention avant la date de l'injonction, y compris tout employé des mandants, mais de garder le même secret excepté par consentement écrit obtenu préalablement du Commissaire aux Brevets, sinon elle tombera sous le coup de 35 USC (1952).

Toute autre application déjà enregistrée ou à venir contenant une quelconque partie significative de la matière de l'application identifiée ci-dessus tombe sous le coup de cette injonction. Si une autre application ne tombe pas sous le coup de l'injonction de secret, elle peut être portée à l'attention du Groupe de Sécurité, Licences et Examen, au Bureau des brevets.

Si, avant l'émission de l'injonction de secret, une quelconque partie significative de la matière soumise à examen a été révélée à qui que ce soit, les mandants informeront rapidement la personne de ce qu'elle encourt comme pénalités en cas de divulgation. Cependant si cette divulgation a lieu dans un pays étranger ou vers un ressortissant étranger aux USA, les mandants ne pourront pas informer la personne de l'injonction de secret. Au lieu de cela, ils fourniront rapidement au Commissaire des Brevets : date de la divulgation, nom et adresse du divulgateur, identification de la partie concernée et de toute autorisation par une agence gouvernementale d'exporter une telle partie. Si la matière soumise à examen est comprise dans une application de brevet étranger, ou un brevet, ceci doit être identifié… »

Selon l’information obtenue grâce au FOIA ,en 1991 le Pentagone a placé sous la censure 774 (290 en 1979) applications de brevet dont 506 d’entre elles l’étaient sur intervention de sociétés privées.

Une lettre ouverte de Bruce de Palma adressée le 7/9/95 à SEA/US :

« Absent des Etats-Unis depuis cinq mois, je vous remercie pour tous vos articles sur la N-Machine. D' Australie où je réside, j’ai maintenant une vision plus claire de l’Amérique. J’ai reçu vos deux courriers, de William Hyde et de Paul Brown, mais je ne suis pas complètement au courant de leurs travaux. Finalement, ils s'aperçoivent que la technologie à Energie Libre est opprimée aux USA.

J’ajoute qu’il est vrai que j’ai eu des menaces de mort. La première fois, cela est venu d’Edgar Mitchell, l’astronaute qui m’a dit : "le gouvernement estime que, sans aucun doute, la N-Machine était la machine à Energie Libre qu’ils cherchaient et que si je tentais quoi que ce soit en Californie, on me ferait sauter la tête." La CIA m’a averti par l’intermédiaire de Mitchell que je ne pourrais quitter le pays car je serais kidnappé. C’était en 1980, on s’efforçait de m’effrayer alors que je devais me rendre à Hanovre, à la première conférence du Dr Nieper sur l’énergie du champ de gravité. Le Pr P. Tewari qui y a assisté fut récompensé pour sa N-Machine, appareil qui est à ce jour celui qui permet d’observer le plus nettement le phénomène d’Energie Libre.

Ces dernières années, mes inventions ont été confisquées par différents groupes, le premier étant la communauté Sunburst qui m’a aidé à construire la N-Machine mais quand leur chef a vu miroiter les dollars il a décidé de se passer de moi.

Ensuite, d’autres groupes ont tenté de me manipuler et de me contrôler, c’est à dire tout obtenir de moi, techniquement parlant. En fait, le contrat de Mitchell avec moi était relatif à une affaire qu’il essayait de monter et où il allait avoir à collecter de 150 à 300 millions de dollars, et faire démarrer une société de la taille de General Motors en trois à cinq ans. Je devais avoir un contrat de travail d’un an et $30.000 et la possibilité de toucher peut-être 1 ou 2 % de l’affaire. Mais, sur les conseils de mes avocats, j'ai refusé ce qui a fait piquer une colère à Mitchell.

L’astronaute Edgar Mitchell et la N-Machine

Après j’ai été en affaire avec une compagnie du sud de la Californie, MicroCoGen, pour l’achat de N-Machines pour un système de cogénération, d’ailleurs excellent. De toute façon, la Southern California Edison leur fit faire faillite, car elle avait révisé à la baisse le tarif de courant des clients (dont elle avait obtenu la liste grâce à une certaine loi), ce qui les incitait ainsi à ne plus avoir besoin d’acheter les machines.

Plus récemment, lors d’une émission nocturne sur KPFK, (120000 watts NFM la plus puissante station du Mississippi, indépendante, non commerciale), sans avertissement, dès que j’ai été annoncé comme l’invité le plus controversé que Roy Truckman ait jamais eu, le courant fut coupé pendant trois heures. Enfin, cela peut être une coïncidence et je peux être paranoïaque. Mais en cas de panne d'émetteur, un service de maintenance est supposé exister, et justement, cette maintenance était prévue pour les jours suivants…

Toutes les affaires que j’ai essayé de bâtir pendant des années, même soigneusement documentées et mûrement réfléchies, et montées par des hommes de loi et des techniciens, ont fini en queue de poisson quelque part…Le temps passe et on n'obtient aucune réponse des agences gouvernementales censées agir.

Par exemple, la NASA a finalement été avertie par deux membres du congrès après mon passage dans une émission largement suivie dans la journée en Floride "For the People " de Chuck Harder. Ces deux membres ont demandé à la NASA de faire des recherches et ils se sont occupés de choses inutiles, ont fixé des dates puis les ont changées… Des gens de l’Air Force tenant à la plus grande discrétion sont venus me voir, pendant leur temps libre.

Au bout de quelque temps, vous êtes pénétré du message qui vous montre que vous travaillez dans un environnement très étrange, où la plupart des gens autour de vous croient à ce qui est bien, ou mal, à la raison, à la Constitution et aux hommes de loi, et à toute cette philosophie à laquelle nous nous raccrochons. Mais en réalité il existe un tas d’hommes de loi corrompus de mèche avec des hommes d’affaires et des politiciens corrompus qui feront n’importe quoi pour maintenir leur contrôle sur les ressources établies et se garantir toutes sortes de revenus car ils sont assis sur tout, et c’est comme ça, on doit payer pour ceci pour cela, morceau par morceau, tous les gallons, tous les kilowatts heure d’électricité. Pour eux il est impensable que l’on puisse avoir chez soi une source d’énergie indépendante. Si on prête attention à cette sorte de technologie, elle est immédiatement classée top secret, appliquée aux armes dont les plus modernes utilisent d’énormes quantités d’électricité, par exemple, les rayons de la mort Laser, les systèmes de propulsion de bateaux, les systèmes d’énergie de la guerre des étoiles, les systèmes d’énergie de la station Mars, etc.

C’est ainsi que, d’Australie, je vois l’Amérique comme un endroit où la Science est sous une chape (de plomb). Cela a commencé à la fin des années 50, quand la censure et le principe du top secret se sont instaurés. Il y avait alors des couches et des couches de classification et probablement seulement certains comités pouvant accéder à la classification "à lire seulement" etc.

Il devient très clair que la Science qui prospère sur le libre échange des idées est complètement stoppée si la communication ne lui est plus permise. Comme si cela ne suffisait pas, nous vivons sur une planète qui doit résoudre les problèmes de surpopulation et de manque de nourriture pour lesquels toute réponse technique serait la bienvenue…

C’est pourquoi, j’ai quitté l’Amérique, car elle a, selon moi, passé le point de non-retour. Ici, en Australie, les gens sont plus ou moins d’accord sur le retard de trente ans qu'ils ont par rapport aux Américains, mais cela signifie qu’ils ont encore une chance de se ressaisir s’ils poursuivent une politique énergétique indépendante.

Ce que je suggère tient en ceci : nous possédons des réseaux d’énergie globale, des copies de tous les articles sur l’Energie Libre circulent sur la planète. Cette conscience évite toutes les Universités et les monolithes placés sur la voie du progrès…il suffit d’un ordinateur et d’un modem. Sur le sujet de l’Energie Libre les Australiens mettent sur pied un système d’accès à un ordinateur de réseau où l’on aura accès à tous les articles.

…Je tiens à dire pour finir ce propos que l’Energie Libre existe, qu’elle mérite sa place dans la science et je ne mets pas seulement en avant la seule N-Machine. Certes, c’est un des appareils qui a montré une sur - unité mais elle n’est pas la seule machine dans ce domaine, ni le fin du fin. Elle convient davantage aux villes, avions, bateaux qu’aux maisons ou automobiles. Il y a des versions plus petites, sur différents principes qui conviennent mieux pour ces usages.

En attendant, je suggère que la Terre puisse adopter une économie basée sur l’hydrogène produit par une N-Machine, très efficace dans l’électrolyse de l’eau à bas voltages et ampérage élevé. L’hydrogène ainsi produit coûte de trois à cinq fois moins qu’actuellement. Des générateurs pourraient charger des réservoirs hydrides comme ceux du système mis au point par le Dr Gerald Schafflander qui avait construit une voiture à hydrogène. Son idée était de produire l’hydrogène à partir de cellules solaires dans un environnement désertique sans nuages. Ce système très pratique, permettrait d’arrêter complètement de brûler des carburants fossiles et de produire brouillard et pluies acides. Il serait bon de déterrer le brevet de Schafflander, voir même si lui-même n’est encore dans la prison où l’a mis le SEC, pour les mêmes raisons futiles qui ont tracassé Brown et Hyde… »

Interventions musclées

En 1991, lors d'un congrès à Boston, Paul La Violette, Dr en Physique du Vermont a fait rire son auditoire en incitant les membres de la police politique - spéciale énergie libre - assurément présents dans l'assistance à se manifester. Mais personne n'a bien sûr répondu à sa demande ! « Si une loi existe contre ces recherches, il faudrait au moins en informer les chercheurs » a-t-il dit un peu comme Ken Mac Neil l'avait fait en Georgie en 1994.

Et pourtant…

Dennis Lee

En 1985, Dennis Lee a introduit sur le marché une super pompe à chaleur dans son état natal de Washington. Elle permettait d'économiser 70 à 80 % sur les coûts de chauffage et d'eau chaude. Les entreprises mécontentes de cette concurrence ont incité le bureau de l'attorney à lui faire un procès. Ensuite sa fabrique a été mise à sac presque chaque nuit. On lui a volé des papiers qui se sont retrouvés dans le bureau de l'attorney. Les médias et ses actionnaires ont été incités à le chasser. Malgré tous les obstacles, un procès ridicule qui exigeait de sa société qu'elle fasse ce qu'elle faisait déjà, la création délibérée de problèmes financiers, la compagnie poursuivit son chemin et partit à Boston où elle s'associa à une autre.

C'est là que Lee découvrit comment faire de l'électricité gratuite en utilisant la super pompe à chaleur. Ses travaux étaient soutenus par trois scientifiques aux références impressionnantes, un professeur du M.I.T.(Massachusetts Institute of Technology) , un ex-scientifique du DoD (Department of Defense), et un ex-superviseur de chez Boeing, ingénieur électricien doté de 40 ans d'expérience.

Lee écrivit au DoE (Department of Energy), aux membres du congrès, aux médias, sans réponse, sinon quelques-unes unes pour dire « tenez-nous au courant » et une autre agressive. Il écrivit aussi au Président Carter, qui encourageait pourtant la recherche de sources d'énergies renouvelables.

A Boston, lors d'une démonstration fameuse, il fit la Déclaration d'Indépendance Energétique, dans la ville même où deux siècles auparavant avait germé la Déclaration d'Indépendance de l'Amérique. Il décida de développer lui-même un marché. Un des scientifiques qui le soutenait ayant insisté pour qu'il le rejoigne en Californie, il partit s'installer à Ventura et installa un laboratoire dirigé par ce même scientifique. Dans l'équipe se trouvaient aussi le "père" du Boeing 747", le concepteur de la coque des sous-marins modernes offerte à la Navy, un ancien chef de la recherche à Batelle, le concepteur de systèmes de poursuites pour la NASA, et un expert sur les moteurs à combustion interne.

Ils ont mis au point dans leur atelier, un générateur, le LTPC (Low Temperature Phase Change), le moteur à chaleur Fischer (dont il sera question dans les prochains dossiers du site Quant’homme), un réacteur bicoannulaire adiabatique capable de brûler du charbon avec un rendement à 90 % et le Hot Box Thermal Storage Unit.

Lee, pourtant au courant de ce qu’avait vécu d’autres inventeurs, a pensé que des démonstrations soutenues par le public seraient une bonne protection. Il a offert à certains inventeurs la possibilité de voir développer et commercialiser leurs inventions. Il pensait aussi qu'une fabrication décentralisée serait préférable. C'est pourquoi il a vendu à un réseau de personnes impliquées dans la distribution et la fabrication des produits, des informations concernant la pompe à chaleur.

Le 12/01/88, Lee avait fait des démonstrations devant 350 personnes en exposant ses idées et sa technologie. Deux jours après, sans avertissement, 13 hommes armés et munis de gilets pare-balles firent irruption dans l'installation de recherche et emportèrent tous les prototypes. Ils prirent des photos de tous les employés, confisquèrent des papiers confidentiels relatifs à des inventions confiées par des inventeurs étrangers à l'entreprise. Cinq cent pages ont été volées, ce qu'ont nié les fonctionnaires malgré des preuves photographiques.

Un procès a été intenté à Lee pour fraude du plan de commercialisation en vigueur en Californie, le SAMP (Seller's Assisted Marketing Plan).

Pendant six mois, Lee a poursuivi son travail, mais il a été arrêté par des agents de Ventura en juin 1988, lors d'une rencontre avec une personne de son réseau. On lui avait trouvé plus de trente chefs d'accusation dont celui d'avoir fait neuf victimes. Alors que dans un tel cas, une caution de 5000 dollars est demandée, Lee s'est vu exiger un million de dollars. L'avertissement était clair pour ceux qui travaillaient avec lui.

Dans cette affaire, de nombreux juges ou autorités ont signé des ordres difficiles à justifier. Celui qui l'avait arrêté a reçu une promotion et fut chargé de la prison où Lee est resté dix mois interné en attendant le jugement. Pendant ce temps, sa société a été détruite par un groupe d'hommes apparemment commandités par le bureau du shérif. Le personnel de la prison a tout tenté pour l'empêcher de préparer son procès. Les scientifiques qui dirigeaient les recherches ont pris peur et ont quitté la région. Les vendeurs se sont vus menacés de 60 ans de prison sur la base de violation du SAMP. Lors d'une audition, il a été révélé, parmi d'autres faits que les agents de Ventura n'avaient pas seulement fait cette persécution discriminatoire, mais avaient manqué à leur devoir en ne préservant pas les témoignages matériels et avaient effrayé les témoins et menti aux "victimes" pour créer une affaire contre Lee. La compagnie d'assurance a changé par trois fois ses règles relatives à l'importante caution.

Un an après, les scientifiques ayant surmonté leur peur ont finalement témoigné que les technologies annoncées par Lee faisaient ce qu'elles annonçaient. Muni d'un solide dossier, Lee intenta une action en justice en cour fédérale contre les fonctionnaires de Ventura, mais aucune audition n'a suivi.

Toutes ses tentatives vis à vis de la justice ont été rejetées. Sa famille qui vit dans le New Jersey poursuit son œuvre s'engageant à ne tirer les chèques qu'en cas de satisfaction. Lee, condamné à payer 750.000 dollars pour avoir été soupçonné d'une fraude de 20.000 dollars a enfin vu cette somme réduite à zéro par le juge de la haute cour Robert Soarès qui a déclaré que Dennis Lee n'était pas un danger pour la société, mais que le danger économique lui, était bien réel.

Nota : 15/10/2001 : Paul Pantone (cf site quant’homme ou Top Secret N°1) est en train de dénoncer le contrat établi entre sa société et celle de Dennis Lee (qui a de nombreux détracteurs aux USA), car il a les preuves du fait que les termes de l'accord ne sont pas respectés.

Un exemple de détracteur

On trouve dans les propres pages Internet de BWT (ce qui démontre l’honnêteté de Lee), les propos de son détracteur Eric Krieg. Ce dernier examine les propositions stupéfiantes de Dennis Lee pour une meilleure technologie mondiale dans sa « Déclaration d’indépendance énergétique ». Ayant déjà vu des propositions similaires et gardant des doutes, il dit néanmoins qu’il lui souhaite de réussir.

Il dit par exemple : « Le 23/09/96, avec trois amis, je me suis rendu au Philly Corestates Center pour écouter Lee. D’après mon enquête, il a dépensé quelque $100.000 pour monter cette manifestation. Son style m’a intrigué : cela m’a fait penser à un démarcheur à domicile, à un catcheur professionnel, à Jim Bakker et Uri Geller… » Il recommande d’user de scepticisme pour examiner les 16 points énumérés par Lee.

« Dennis devrait être ouvert à mon offre d’essayer personnellement ses appareils en présence de représentants des principaux journaux...J’encourage toute personne, face à ses affirmations à garder avant tout l’esprit critique. Les scientifiques qui ont assisté à son show n'ont vu aucune preuve extraordinaire mais sont ouverts à toute preuve. »

L'illusionniste Randi, lui, a promis de verser un million de dollars en échange d'une simple preuve du fonctionnement de la machine de Lee. Selon Krieg, Lee vendrait certains appareils $10.000 et accepterait les dons mais sans garantie de retour d'informations autres que celles données lors des démonstrations.

Evan Soule qui a fait devant 9000 personnes et avec l'inventeur une présentation du générateur de Newman au Superdôme à New Orléans a dit que Lee désirait combiner sa technologie avec celle de Newman. Mais il n'y a pas eu de suite car Newman et Soule ont ensuite eu connaissance des actions en justice menées contre Lee.

Protectionnisme

Les Japonais fabriqueraient en masse des appareils à sur-unité qui apparaîtront sur des voitures électriques japonaises que les Américains refusent d'importer tout comme celles au gaz fabriquées au Japon (Honda) et qui ont une autonomie extrêmement élevée.

En 1995, Mickey Kantor, avait bénéficié de l'aide de la NSA lors de discussions très serrées avec Tokyo sur les quotas d'importations de voitures.

Faut-il voir dans certains accords entre constructeurs automobiles comme celui de Renault avec Nissan, une possibilité d'avoir, pour les Français, un veto sur les importations japonaises ? Ou bien s'agit-il au contraire d'une volonté de contrôler la distribution de voitures électriques munies de moteurs à sur-unité qui sont sur le point d'arriver, irrémédiablement, sur le marché ?

L'accord franco-japonais présenté au conseil d'administration de Renault mais déjà tout décidé par les Ministres français de l'Industrie et des Finances est d'autant plus curieux que Renault a apporté fin mars 1999, moyennant un emprunt de 20 milliards, 35 % de participation à Nissan pourtant endettée à hauteur de 216 milliards.

Crédits réduits

Les partisans de la Fusion chaude, ont commis une fondamentale erreur de jugement. Comme ils sont absolument compétents dans la physique des plasmas gazeux, où peut et doit se produire la fusion d’éléments légers, ils ont attendu de toute fusion dans une pile électrochimique, sur ou près de la surface d’un réseau métallique, qu’elle soit similaire à une fusion dans un plasma de gaz.

C’est en condamnant la fusion froide que ces scientifiques pourraient sérieusement être dans l’erreur, et certains la font ! Et pour l’aggraver, quelques scientifiques, comme on les appelle, orientent leurs compétences vers du lobbying politique, et pire. Dans leurs tentatives peu judicieuses d’empêcher l’erreur d’arriver subrepticement dans les majestueuses salles du gouvernement, ces lobbyistes se sont servis de leurs compétences, pour empêcher au gouvernement (par le DoE) d’accorder des fonds à la recherche sur la Fusion Froide ce que déplore Edmund Storms, de Los Alamos. Ils ont condamné officiellement des scientifiques qui ont réussi, ils ont volontairement tenu éloignés de l’évolution dans ce domaine les meilleurs chercheurs, ils ont écrit et financé des livres tels « La mauvaise science », « Trop chaud pour être manipulé », et le « Fiasco scientifique du siècle ». Ils ont été nombreux à dénoncer les conférences sur la Fusion Froide comme étant la balle résiduelle d'après la moisson, sans aucun grain.

Le plus grand crime perpétré contre les inventeurs, les ingénieurs, les scientifiques travaillant sur la Fusion Froide, a été de pousser à la priver de ses droits.

Quelques difficultés qu’il y ait

à découvrir des vérités nouvelles,

Il s’en trouve encore de plus grandes

à les faire reconnaître

Lamarck

Ndlr : Illustrons cette conclusion avec un exemple concret et édifiant. Voici ce que racontait à la fin du XIX° siècle la cinquième édition du Dictionnaire Général des Sciences Théoriques et Appliquées de PRIVAT-DESHANEL ET FOCILLON à propos du Phonographe.

« Phonographe : Instrument extrêmement ingénieux, inventé en 1877 par l’américain Edison et qui reproduit à volonté les sons, même articulés, que l’on a fait entendre devant lui. Il fut présenté le 11 mars à l’Académie des sciences de Paris par M. le comte du Moncel. Les résultats de l’expérience qui en fut faite devant ce corps savant parurent si surprenants que plusieurs membres soupçonnèrent une supercherie. Mais chacun put s’assurer de la sincérité des assertions émises et des expériences faites ; alors ce furent des applaudissements unanimes. (…) La reproduction de la parole est surprenante. Il sort de l’instrument une voix un peu grêle et nasillarde, mais d’ailleurs très semblable à celle de l’expérimentateur. Elle reproduit son accent, son ton, et parle la langue qu’il a parlé. Rien n’est plus étonnant. Le phonographe peut ainsi redire une conversation faite devant lui. Il reproduit l’accent et la prononciation de chaque interlocuteur. (…) Le phonographe est quelquefois employé pour dicter des lettres qui s’inscrivent sur un cylindre, et que des secrétaires reproduisent ensuite à loisir. Hors cette application assez restreinte, le phonographe ne sert guère que comme appareil de laboratoire ou comme jouet. »

Chacun jugera la perspicacité et la nature « visionnaire » de ces hommes de science que l’on dit savants !

Espérons que l’énergie libre connaîtra un jour le même essor que l’invention du phonographe, même si contrairement à ce dernier, elle a pour vocation de libérer l’homme au lieu de l’asservir via un système de consommation à outrance.

Visitez le site : http://membres.lycos.fr/quanthomme/index.html

Ou encore : http://quanthomme.free.fr/




L'ÉNERGIE DU VIDE POURRAIT NOUS SUFFIRE A PRODUIRE TOUTE NOTRE ELECTRICITE (Spiritualité, Nouvel-Age - Energies libres)    -    Auteur : mélanie - Canada


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