Spiritualité, Nouvel-Age - Développement Personnel
Intercommunications naturelles spécifiques chez les êtres vivants et retour, à la dimension cosmique

"L'homme cet inconnu" comme nous le disait le Docteur Alexis CARREL, Lauréat du prix Nobel de Physiologie et Médecine en 1912 qui admettait sans réticence les phénomènes de clairvoyance et de prémonition du cerveau humain, nous invite aujourd'hui à nous interroger sur le rôle que l'espèce humaine doit jouer dans l'Harmonie Cosmique où elle semble se placer à mi-chemin entre le macrocosme, c'est à dire l'infiniment grand ( planètes, étoiles, constellations, galaxies, etc..) et le microcosme (molécules, atomes, neutrons, électrons, etc....) et dont les frontières lui semblent aujourd'hui à jamais inaccessibles.
II La genèse de l' affaire.

L'homme n'est-il qu'un pion voué aux aléas des éléments de la Nature et qui disparaîtra un jour du paysage de cette planète comme cela est arrivé à certains dinosaures, il y a 150 millions d'années, pour ne laisser, des siècles après, que quelques ossements épars dans un sol ravagé ? C'est le point de vue des scientistes évolutionistes, durs adeptes du matérialisme, qui refusent que spiritualité et sentiments archaïques ne viennent diriger leur action tournée uniquement vers le concept de profit au service de l'homme .
Ou au contraire, l'homme a-t-il en lui les potentialités intrinsèques d'adaptation à son environnement cosmique qui lui permettront de surmonter ses éventuels handicaps dont il serait d'ailleurs le premier responsable par son obstination à braver les lois naturelles au lieu de se mettre en résonance avec l'Axe qui les supporte ?

Cet article se situe donc dans la lignée des textes qui se réclament du New-Age, mouvement qui vise à dénoncer les agissements de ceux qui ne veulent que transformer la Nature pour la mettre au service de l'homme, mais au contraire qui est un mouvement qui a pour but d'encourager ceux qui disent qu'il est grand temps de transformer le cœur de l'Homme, soit-disant civilisé pour qu'il se mette enfin au service du Grand Tout Cosmique plutôt que contre lui .

Observons d'abord qu'un arbre ne se nourrit pas de ses propres fruits. Il les distribue généreusement afin que d'autres en tirent le meilleur profit. Mais cet arbre lui-même, ne reçoit-il pas de la Terre-Mère toutes les substances nourricières dont-il aurait besoin ?

On peut supposer alors que cette loi pourrait bien être aussi Planète Terre comme sa Mère Nourricière et il devrait en principe distribuer gratuitement autour de lui, tous les bienfaits qu'il pourrait produire. Certains vont, de suite, qualifier, n'est ce pas, ces propos d' utopique et rire sous cape ? Mais avant l'invention du Réseau Internet, qui, en effet, aurait pu deviner que l'on allait pouvoir accéder de nos jours, sans bouger de chez soi, à un vaste système d'information sur les éléments du savoir mondial et cela presque totalement gratuitement, et en tout cas bien moins cher que si l'on devait se procurer les ouvrages imprimés sur les sujets qui nous intéressent .

Qui aussi, peut affirmer aujourd'hui que ce modéle éclatant d'échange d'information ne pourra pas un jour être copié plus ou moins pour nous offrir aussi gratuitement des biens de consommation élémentaires, comme par exemple ceux que l'on gaspille dans les pays dits développés et ainsi transformer cette planète en un grand et fraternel village.

De nombreux exemples existent dans la Nature concernant les pouvoirs inconnus des plantes et des animaux et ce que l'on sait mieux, de l'homme, et nous ne choisirons pour l'instant que cinq cas qui nous invitent à croire que l'être vivant demeure une "créature fantastique" qui est bien en relation avec les énergies cosmiques qui l'environnent :

a) - La Vie extraordinaire des plantes.
Nous allons vous transcrire d'abord ci-dessous un article remarquable de Mr Alexandre DOROZYNSKI tout à l'honneur de la revue "Science et Vie" à l'époque où elle s'intéressait encore aux sentiers inexpliqués de la Nature. Cet article qui aurait pu lancer en France des recherches simillaires révolutionnaires dans les universités, n'a eu, à notre connaissance, aucun écho péremptoire par la suite, à moins que ces recherches se soit poursuivies en douce pour la plus grande satisfaction des Services Secrets et des sbires attitrées du "Royaume de l'Ombre", toujours prêts à nous subjuguer à notre insu. Nous avions là pourtant , il faut l'avouer cependant, les moyens d'entrer vraiment dans la dimension cosmique de la Vie sur cette Terre. A vous de juger : Il s'agit de l'article intitulé "La vie "affective" des plantes" paru dans le n° 682 de Juillet 1974 où il est fait état de la découverte fortuite d'un certain Clève Baskster, consultant à l'époque auprès de la police new-yorkaise et qui pour se distraire en 1966 avait branché, dans son bureau, sur une plante un vérographe, sorte de galvanomètre très sensible utilisé comme détecteur de mensonge. Les expériences qui en découlèrent furent proprement ahurissantes et prouvèrent, pour résumer brièvement, sans l'ombre d'un doute que les plantes étaient "conscientes" de la vie et de la mort des êtres qui les entourent, de capter nos pensées intimes, et en plus elles sont capables de faire d'autres choses encore plus fantastiques, comme de réaliser la transmutation de métaux si chères à nos alchimistes. Pour en savoir plus bas, le paragraphe en date du 15/11/1999.

Si donc, après cela, vous croyez encore pouvoir arracher les feuilles d'une plante sans scrupules ou même négliger de la caresser en l'observant, c'est votre affaire...


b) - La semence choquée
Dans son ouvrage intitulé "Histoire naturelle de vie éternelle"de 1976, le biologiste anglais Lyall WATSON, nous parle aussi des expériences révolutionnaires de Clève Baskster et il dévoile en plus d'autres experiences faites en utilisant ce même vérographe : Ce chercheur nous montre aussi, par exemple, qu'un œuf non fécondé peut communiquer avec son entourage, car, grace à un simple éléctro-encéphalogramme branché sur l'un d'eux, on constate un tracé spécifique de l'appareil , quand on plonge un autre œuf dans dans l'eau bouillante placée à quelques mètres du premier. Puis il nous parle d'une expérience extraordinaire faite sur un être humain : En plaçant des électrodes d'argent dans de la semence spermatique humaine fraîche et en faisant simplement respirer au donneur de cette semence, assis à douze mètres, le contenu d'une ampoule de nitrite d'amyle, dont l'action est très puissante, on constate au moment précis où ce produit détériore les cellules de la muqueuse nasale du donneur, une nette réaction de solidarité dans la semence pourtant isolée et qui ne se produit pas si le nez endommagé n'est pas celui du donneur. (Cette expérience est d'ailleurs confirmée par une autre source très inattendue et ésotérique à la page 104 du livre remarquable de Barbara Marciniak "TERRE " sous-titté " Les clés pléiadiennes de la bibliothèque vivante " aux éditions ARIANE de 1998 où l'on trouve cette phrase: " Pouvez-vous concevoir le fait que le sperme garde un contact télépathique avec son propriétaire ? " ) . Et WATSON nous dit qu'il a lui même tenté l'expérience avec des échantillons de sang et des cellules épithéliales prélevées de son palais et qu'il observa une réaction analogue de l'appareil très sensible utilisé et cela prouve que notre sang est un vehicule extraordinaire d'information concernant le corps humain. Autrement dit-il aussi, il existe dans le monde des organismes vivants, un système non encore répertorié de communications intercellulaires et les millions de formes vivantes de cette planète seraient encore bien plus interdépendantes que nous le clament les écologistes les plus endurcis.

c) -La vision extra-rétinienne.

Dans son numéro de Décembre 1964, la revue "Science et vie" qui s'intéressait à l'époque aux vrais mystères de l'être humain, publiait, avec une remarquable photo en première page, un article sur 7 pages concernant le cas d'une jeune fille russe alors de 22 ans , Rosa Kulesciovaqui après s'être dévouée au sein d'une famille d'aveugles, pour les aider à comprendre le braille et à reconnaître les couleurs, était parvenue toute seule à apprendre à lire avec les doigts. (voir image couverture Science et Vie :)

Des savants russes l'analysèrent méthodiquement et remirent même un certificat d'authenticité. On constata qu'elle pouvait déchiffrer, les yeux évidemment totalement obstrués, des caractères de journaux et des partitions musicales même placés sous verre, ainsi que la couleur et les formes de surfaces lumineuses projetées sous sa paume. A la suite du passage à la télé de Rosa, on lui découvrit ensuite d'autres émules : une fillette de 9 ans, Lena Bliznova dont la mère, femme de médecin impressionnée par ce qu'elle venait de voir sur le petit écran, décida de tester sa propre fille et s'aperçu alors avec ahurissement que Lena avait des performances qui surpassaient celles de Rosa.

Il y eu aussi Vera Petrova agée de 11 ans et surtout une jeune aveugle Nadya Lobanovaqui furent capables d'en faire tout autant. en Amérique, en Italie, en Ecosse, on découvrit ausssi des sujets sensibles et c'est alors que l'on s'aperçut qu'il existait déjà un traité sur la "Vision extra-rétinienne et le sens paroptique" exposant ces faits et publié au début des années 20 par l'Académicien Français Jules Romain , affaire qui avait fortement agité le monde scientifique de l'époque. Donc tout cela n'est pas nouveau et en s'entraînant, peut-être découvrirons-nous que certains de nos enfants possèdent aussi cette particularité de vision non orthodoxe, qui nous montre une fois de plus que nous sommes bien plus équipés pour évoluer dans la nature que l'on veut nous le faire croire ?

d) -Les calculateurs prodiges.

A notre époque où les ordinateurs font des millions d'opérations par seconde, on pourrait croire que le cerveau humain est désormais hors-circuit pour entrer en compétition avec ces machines. Mais il est peut-être aussi utile de révéler aux personnes qui l'ignorent encore, le cas plutôt rare mais parfaitement contrôlé, des individus qui calculaient aussi vite sinon plus que nos machines actuelles :

-Inaudi , petit berger piémontais qui pouvait résoudre en jouant un air de flûte 7 problèmes différents.
- Ampère, le fondateur de l'électrodynamique était dans son enfance un as du calcul mental mais perdit ses dons en grandissant.
- Vito Mangialemele, un petit berger également mais sicilien alors âgé de dix ans fut présenté à l'Académie des sciences de Paris en 1887.
- Henry Mondeux et Ludwig Kahn , merveilleux calculateurs et aussi l'indienne koumari Shakuntala Devi, dont le nom prédestiné signifie la fillette portée par les oiseaux et qui nous dit l'écrivain Leo Talamonti qui l'a rencontrée en 1951, était capable d'extraire instantanément racines carrées, cubiques et même d'ordre supérieur de nombres de douze chiffres, que l'on ne pouvait à l'époque obtenir qu'avec de très laborieux et longs calculs.

Mais plus près de nous, il y avait aussi les français Marius Portal , Maurice Dagbert et surtout Paul Lidoreau disparu en 1970 et qui chose incroyable a négligé son don pendant près de 48 ans, car son instituteur s'étant aperçu qu'il avait la faculté de trouver immédiatement les réponses aux divers calculs faits en classe, et qu'il refilait en douce les résultats à ses camarades, lui avait fait promettre de plus perturber les progrès de la classe par ses agissements peu conventionnels. Aussi après la guerre de 14 -18, il fonda une petite entreprise artisanale pour le travail du cuir et en lisant une revue parlant des prouesses d'Inaudi, il s'aperçu qu'il était capable de faire aussi bien que lui. Il pouvait additionner dix nombres de 36 chiffres et inscrire le résultat quasi immédiatement.

Mais chaque soir pour s'entraîner et s'endormir par la même occasion , il résolvait le problème suivant : Décomposer un nombre de 6 chiffres en la somme de 5 cubes parfaits et de 5 carrés parfaits et cela au millionième près et surtout chaque racine devait avoir au moins deux chiffres ce qu'Inaudi ne réussissait pas à faire. Les nombres lui apparaissaient comme sur un tableau noir et pouvaient rester en place dans sa tête des mois, tant qu'il ne se posait pas un autre problème du même genre.(voir image suivante de Paul Lidoreau :)

Voilà donc encore un cas où l'homme nous montre qu'il a des pouvoirs fantastiques, non utilisés plus ou moins développés chez certains et avant l'invention des ordinateurs, ce pouvoir extraordinaire aurait pu faire avancer grandement certaines recherches utilisant des grands nombres comme par exemple l'Astronomie, au lieu que d' exposer ces calculateurs prodiges dans des foires ou à la télévision.

Voici par exemple, à ce sujet, quelques propos d 'Anne Relizane parus dans la revue Nostra du 12 Mai 1976 sous le titre "Des calculateurs plus rapides que des ordinateurs":

L'Autre samedi, ( Le 8 Mai 1976) Philippe Bouvard nous a présenté à la télévision, un homme peu banal Marius Portal, âgé de 79 ans qui réussit à battre les machines à calculer de (l'époque bien sûr) en réalisant, en un fraction de seconde, des opérations très compliquées, comme des multiplications à une douzaine de chiffres ou des extractions de racines multiples.
Son cas n'est pas unique. Toute l'histoire du music-hall - et de la science - est, ainsi, marquée par des calculateurs prodigieux qui défient l'intelligence humaine et laissent perplexes les plus habiles mathématiciens en résolvant mentalement, en quelques secondes, des opérations très compliquées que les spécialistes ne peuvent realiser qu'avec du temps, et souvent une machine.
Et, pourtant, ces génies des chiffres ignorent généralement tout des mathématiques.
Buxton, un prodige anglais du XVIIIe siécle, ne savait méme pas écrire son nom. L'Américain Zerah Coiburn, né en 1804, fut toujours le dernier de sa classe.
Henri Mondeux, né en 1826, près de Tours et fils d'un bûcheron, s'amusait a calculer, à l'âge de 7 ans, tout en gardant les moutons de son père, alors qu'il ne savait ni lire, ni écrire. Il se servait de petits cailloux qu'il disposait en tas.

Le plus célèbre de tous, peut-être, Jacques Inaudi, né dans le Piémont en 1867, d'une très pauvre famille de paysans, exécutait, à 6 ans, des multiplications à cinq chiffres, bien qu'il ne sache ni lire, ni écrire, ni même réciter sa table de multiplication. A 25 ans, alors qu'il se produisait en public, il fut étudié par l'Académie des Sciences qui conclut qu'il avait imaginé des procédés de calcul tout a fait originaux.
C'est, généralement, dans la plus tendre enfance que ces pouvoirs exceptionnels naissent, et quand il ne s'agit pas de véritables mathématiciens prodiges, ils s'atténuent avec l'âge, pour disparaltre dans l'âge mûr.

Des calculateurs prodiges plus rapides que les ordinateurs.

L'un des plus étonnants par sa précocité fut le fameux mathématicien Carl Gauss. Un jour que son père était en train de calculer le salaire qu'il devait à ses employés, il entendit son fils lui déclarer "Papa le compte n'est pas juste. Il faudrait... tel chiffre". C'était vrai. Et, pourtant, le petit Gauss n'avait alors que... deux ans !

Blaise Pascal, lui, à 11 ans, avait retrouvé tout seul les trois propositions de la géométrie d'Euclide.

Pourtant ils ignorent généralement tout, des mathématiques

Il traçait sur les carreaux de sa salle de jeux des figures dont il ignorait le nom et il s'était fait sa propre terminologie pour lui les cercles étaient des ronds, les droites des barres, etc.
Certains peuvent même, pendant les calculs, poursuivre une conversation d'ordre tout à fait différent avec les assistants. Ou, comme Maurice Dagbert, résoudre en même temps sept problèmes différents, tout en jouant une oeuvre musicale.
"Une voix, disait Jacques Inaudi, calcule à mon insu."

Paul Lidoreau, un industriel parisien, né en 1888 et qui pouvait, en quelques secondes, réaliser les opérations les plus compliqudes, tout en continuant se conversation, prétendait voir les chiffres s'inscrire devant lui comme sur un tableaù noir. C'était également le cas de la fameuse Mlle Osaka qui pouvait extraire la racine sixième d'un nombre de 18 chiffres.
Louis Fleury, lui, qui était aveugle, prétendait sentir les chiffres sous ses doigts. Et Maurice Dagbert expliquait "Je sens les chiffres sur ma peau. C'est pourquoi je gesticule parfois ou je contracte violemment les muscles". A.R

Science et Vie janvier 1961




Intercommunications naturelles spécifiques chez les êtres vivants et retour, à la dimension cosmique (Spiritualité, Nouvel-Age - Développement Personnel)    -    Auteur : Olive - Canada


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dernière mise à jour : 2007-08-20

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